Macron face aux leaders de l’ESS

La loi Travail préparée par le gouvernement Philippe et qui doit revoir en profondeur le code du travail français, devrait être adoptée par amendements, comme l’a annoncé le président de la république, Emmanuel Macron.

Il n’a pas attendu d’être élu et de se confronter à l’exercice du pouvoir pour annoncer que sa loi travail, essentielle à la relance économique du pays selon lui, ne passerait pas devant les parlementaires, afin de faire gagner du temps au gouvernement.

Une absence de vote à l’Assemblée ne signifie par pour autant un refus de la consultation et le gouvernement à lancé une vaste campagne de rencontres avec les partenaires sociaux, afin de finaliser cette nouvelle loi.

Ainsi, les acteurs de l’économie sociale et solidaire ont également été reçus. C’est la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, qui a accueilli les représentant d’un secteur en plein boom, de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes), le 22 juin 2017.

Le président de l’Udes, Hugues Vidor, a défendu avant cette réunion, un « rôle régulateur de la branche ».

Croissance : la Banque de France optimiste

La Banque de France a fait part de ses estimations optimistes concernant l’évolution de la croissance française, pour le deuxième trimestre 2017.

L’élection du nouveau président de la république française, Emmanuel Macron, a-t-elle déjà un effet positif sur le dynamisme de notre économie ? C’est la question que l’on peut se poser en découvrant une nouvelle accélération de la croissance française au deuxième trimestre 2017.

En effet, lundi 12 juin 2017, la Banque de France a communiqué ses nouvelles estimations pour la croissance française au deuxième trimestre 2017 : elle prévoit une hausse de 0,5% du PIB.

Il s’agit d’une seconde bonne nouvelle après la croissance de 0,3% du PIB au premier trimestre.

L’organisme a expliqué que la croissance avait été particulièrement forte en avril et mai, mais qu’elle devrait ralentir un peu en juin.

« Le travail temporaire repart, tandis que les activités informatiques marquent une pause », selon le communiqué publié par l’organisme financier.

 

 

Macron fait grimper la Bourse

L’élection quasi inéluctable d’Emmanuel Macron à ta tête de la présidence de la république française a fait grimper la Bourse de Paris.

Dimanche 23 avril 2017, le résultat de l’élection présidentielle française est tombé et Emmanuel Macron a été placé en tête des votes.

Une première place qui devrait être renforcée par le fait que presque tous les candidats éliminés ont appelé à voter pour lui afin de faire barrage au Front National et à Marine Le Pen.

La Bourse de Paris s’est donc montré soulagée et ravie, lundi 24, en ouvrant avec une hausse de plus de 4% pour le CAC 40.

Il s’agit de son plus haut niveau depuis le mois d’avril 2015.

Il semblerait que les Américains soit également rassurés du point de vu financier, eux qui craignaient un deuxième tour entre Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon.

 

Le RSI mis en cause

Le régime social des indépendants (RSI) est au cœur de la campagne présidentielle, où de nombreux candidats ont dénoncé les dérives de cet organisme.

De l’extrême droite, à l’extrême gauche, en passant par le centre, le RSI semble devenu une cible privilégiée pour les politiques.

Ainsi, Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen et Emmanuel Macron proposent tous les trois de supprimer purement le RSI.

Ce qui est reproché à cet organisme, outre les nombreuses défaillances, est son intransigeance envers ses cotisant, malgré les erreurs multiples.

Souvent comparé au Château de Kafka, le RSI est craint par les entrepreneurs, qui préfèrent désormais payer un peu plus cher en SAS, plutôt qu’avoir à faire à un organisme incompréhensible, intolérant et dangereux.

Les exemples de travailleurs qui ont reçu des factures énormes et injustifiées du RSI, sans aucune possibilité de discussion, sont très nombreux.

Entre des courriers contradictoires, des appels indus à cotisation, des retards de prestations, des conseillers injoignables… le RSI est un échec.

Même l’inspection générale des affaires sociales et la Cour des comptes ont dénoncé le fonctionnement de ce régime, qui a déjà mis des milliers d’entrepreneurs dans la rue.

Macron humilié par l’extrême gauche

Emmanuel Macron a été bombardé d’œufs par des militants d’extrême gauche, lors de son déplacement à Montreuil.

Lundi 6 juin, le Ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, s’est rendu en Seine-Saint-Denis, à Montreuil, pour une visite de La Poste locale, où il devait présenter le nouveau timbre poste, qui rend hommage au Front populaire, pour son 80eme anniversaire.

Une initiative qui n’a visiblement pas été au goût des militants locaux de la CGT et du Parti communiste (PCF), qui ont été une centaine à attendre le ministre de pied ferme.

A son arrivée sous les huées, le jeune ministre a donc reçu une avalanche d’œufs lancés par des activistes énervés.

Montebourg président ?

L’ancien ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, a annoncé qu’il envisageait sérieusement une candidature à l’élection présidentielle de 2017.

Arnaud Montebourg est bien connu pour ses positions économiques et sociales, mais également pour être devenu le chantre du « made in France ».

Le 8 mai 2016, lors d’un entretien télédiffusé sur « 13h15 Le dimanche », dans le JT de France 2, celui qui était également le compagnon d’Audrey Pulvar a annoncé être prêt pour ce défis.

« S’il y a des responsabilités à prendre dans une période où le pays s’interroge – où est-ce que nous allons ? Qu’est-ce qu’on fait ? –, je les prendrai », a-t-il ainsi répondu à une question sur une éventuelle candidature.

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