Le gouvernement annonce le maintien de l’augmentation des taxes sur le carburant

Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire a confirmé ce matin au micro de RMC que l’augmentation de la fiscalité sur les carburants prévu le 1er janvier 2019. Il a souligné que l’objectif du gouvernement est d’avancer vers la fin de la dépendance au pétrole.

L’hétéroclite mobilisation du 17 novembre ne devrait pas faire bouger le gouvernement d’Edouard Philippe alors que l’extrême-droite, le Rassemblement National et Debout la France en tête, appellent à y participer. Le ministre a affirmé que « « Non, la hausse ne sera pas suspendue. Il n’y aura pas de moratoire. On ne suspend pas la transition écologique ».

Cette hausse devrait être répétée en 2020, 2021 et 2022. Celle du 1er janvier 2019 correspondra à une hausse du prix du litre de 6 centimes pour le gazole et de 3 centimes pour l’essence.

Le ministre a suscité de nombreuses moqueries sur internet quand il a déclaré « nous sommes tous des automobilistes » expliquant que « « le plein de ma 5008 essence, qui était à 68-70 euros, frôle les 80 euros. Quand je transporte ma famille, je m’aperçois bien que ça coûte cher ». Les internautes lui ont notamment reproché d’oublier la différence de salaire entre celui d’un membre du gouvernement et le revenu médiant.

Il a tenu à défendre la mesure d’un point de vue écologique : « Si on ne veut plus dépendre de cette hausse du prix du baril qui nous expose à des coûts prohibitifs, il faut accélérer notre indépendance face aux énergies fossiles ». « Les 3,7 milliards sont là pour favoriser la transition écologique qui est indispensable. Nous finançons la prime à la conversion, le crédit d’impôt pour les cuves à fioul », a également affirmé le ministre

L’expertise CI-Services pour votre stratégie de développement commercial

Trouver de nouveaux clients est LE challenge prioritaire de toute entreprise, et notamment des start-up, et des jeunes entreprises innovantes La stratégie de développement commercial est souvent un enjeu intimidant pour des entrepreneurs qui n’ont ni expérience ni savoir-faire en matière de parcours de vente.

Lors de la création d’une entreprise, les ressources sont généralement focalisées sur la mise au point d’un produit et/ou d’un service innovant et différenciant de qualité. Or, même les meilleurs produits doivent faire l’objet d’une stratégie de développement commercial réfléchie, cohérente et mise en œuvre par des professionnels aguerris.

La difficulté du processus augmente même avec le degré d’innovation des produits et services proposés : la base de clients est à créer, un long travail d’information puis d’éducation doit être entrepris. La qualité du travail pédagogique est une difficulté souvent sous-estimée par les jeunes entrepreneurs qui n’ont pas conscience des résistances auxquelles ils auront à faire face.

Outre ce besoin d’éducation des futurs clients, il est également indispensable de développer une tactique d’approche ciblée pour identifier les leads et les prospects pertinents et espérer réussir à entrouvrir la porte des décideurs. Cette première étape est capitale : parmi la masse d’information que les professionnels reçoivent chaque jour, il faut parvenir à se démarquer suffisamment pour obtenir un rendez-vous et être capable de présenter les avantages de la solution offerte.

Comment obtenir ce premier rendez-vous ? Et comment s’y démarquer de la concurrence et convaincre ? C’est tout l’enjeu d’une stratégie de développement commercial efficace qui commence par l’élaboration et la validation de sa proposition de valeur : pouvoir « pitcher » en quelques mots pourquoi et comment la solution proposée va aider le client à régler un certain nombre de ses problématiques (dont, pour certaines, il n’avait peut-être pas conscience).

Sur la base de cette proposition de valeur, il faut ensuite fixer ses objectifs et lister les moyens disponibles avant de se lancer dans le développement du plan d’exécution, où il faudra choisir en fonction du service ou produit à vendre des meilleures méthodes.

Dans certains cas, l’entrepreneur se tourne vers des outils d’outbound marketing, qui consistent à prendre contact avec les prospects ciblés à travers des campagnes de mailings, d’appels téléphonique suivi avec des outils d’automatisation plus ou moins élaborés. Dans d’autres cas, les commerciaux privilégient l’inbound marketing, qui a pour but d’attirer les clients, via notamment des efforts de référencement SEO/SEA, des campagnes d’information par publication de contenu articles, vidéo, sur site spécialisées et réseaux sociaux.

En clair, la stratégie de développement commercial d’une entreprise est multicanale et sa mise au point dépend de nombreux paramètres. Il est illusoire de penser qu’une stratégie clé en main, comme le proposent certaines agences SEO en ligne, pourrait être adaptée à l’ensemble des besoins de chaque entreprise.

Une bonne stratégie de développement commercial nécessite de bien connaître et comprendre le produit et/ou service proposé, d’avoir une compréhension du secteur et des acteurs en présence (que ce soit la concurrence ou les prospects et leads à cibler), et surtout d’avoir une expérience et un savoir-faire de terrain.

CI-Services avec son expérience acquise dans le domaine des technologies IoT, Blockchain, logiciels est en mesure d’aider les entreprises qui veulent disrupter le monde d’aujourd’hui.

Football : un marché qui vaut de l’or

Alors que la Coupe du Monde  (CDM) de football tant attendue a débuté le 14 juin dernier, un marché florissant se développe autour de cet événement. A l’image de la famille Royale, les produits dérivés tels que les maillots, les ballons et autres goodies s’écoulent en masse. 

Euro 2016 : un marché à 250 millions d’euros

Lors du dernier grand événement de football, la coupe d’Europe, le marché des produits dérivés avait été estimé à 250 millions d’euros. Les opportunités commerciales autour des championnats de football ne cessent de séduire les entreprises.

Mickael Andreo, directeur du licensing chez IMG (ndlr : en charge des licences de produits dérivés pour l’UEFA Euro 2016), avait expliqué la chose suivante pour l’Euro de 2016.

« Nous avons validé plus de 5000 produits pour la compétition (contre environ 4500 pour l’édition 2012), avec une cinquantaine d’entreprises détentrices de la licence (…). La catégorie phare du programme reste le textile, qui représente plus de la moitié des ventes. Le chiffre d’affaires réalisé dans le circuit du retail avec les produits dérivés devrait être d’environ 250 millions d’euros », a-t-il dans un interview accordé au magazine commerce et consommation, LSA.

La Coupe du Monde n’est pas en reste

Si le marché atteignait 250 millions d’euros pour les championnats d’Europe, qu’en est-il avec la CDM ? Depuis que le mondial a débuté un peu partout en Russie, les produits à l’effigie des équipes s’arrachent : maillots, écharpes, drapeaux et figurines… Tout y passe. Selon une étude menée par NDP Group, en ce qui concerne l’équipement et les vêtements pour la pratique du ballon rond, le chiffre d’affaire devrait atteindre les 12,5 milliards d’euros. En terme de pourcentage, cela représente une croissance de 1 % par rapport à une année sans tournoi.

Présentés sur le site officiel de la FIFA, les produits dérivés semblent connaître un succès fulgurant et ce malgré des prix élevés. Par exemple, pour un maillot de l’équipe de France, un supporter devra tout de même dépenser la modique somme de 90 euros. Lunettes et autres chapeaux sont relativement moins chers. Comptez 15 euros en moyenne.

 

 

 

227 magazins Carrefour tirent leur rideau

Ce week-end, le groupe Carrefour l’a annoncé. Faute de clientèle mais surtout de repreneurs, 227 magasins, disséminés sur le territoire, sont appelés à fermer leurs portes d’ici cet été. 

227 sur 273

« Nous avons reçu 23 offres formalisées et 22 offres que l’on va étudier, et qui sont susceptibles d’être formalisées dans les prochains jours », explique-t-on chez Carrefour.

Ces magasins de l’ancien réseau de hard discount Dia en France, racheté au groupe espagnol en 2014, ont été mis en vente par Carrefour dans le cadre du vaste plan de transformation annoncé, fin janvier, par son PDG, Alexandre Bompard.

L’inquiétude grandit du côté des salariés

2 400 postes vont être supprimés sur les sites du siège et 227 magasins de proximité, Carrefour market, Carrefour city ou Carrefour contact, vont fermer leurs portes dans les prochaines semaines.

« La direction a accepté de permettre à des salariés de partir en préretraite par accord d’entreprise sur les hypermarchés, les supermarchés et dans la logistique, ce qui permettra de libérer 1 500 à 1 800 postes, de manière à faciliter le reclassement des salariés des ex-Dia concernés par la fermeture de leurs magasins », expliquait alors Michel Enguelz, délégué national de FO chez Carrefour.

« D’ici à l’été, chacun des salariés concernés par les fermetures recevra trois offres de reclassement, localisées et individualisées, dont au moins deux en interne », ajoute le groupe Carrefour.

Pour les clients concernés par la fermeture de leur magasin, le coup est rude. En effet, ils devront trouver un autre lieu où faire leurs courses.

 

Commerce : l’ardoise plus populaire que jamais

L’ardoise de nos grands-parents semble à nouveau être populaire. De plus en plus de Français se retrouvent en difficulté pour honorer leurs factures et pour payer quelques courses en fin de mois. Afin de remédier à cela et en soulager plus d’un, plusieurs enseignes d’alimentation, dont Casino, proposent dès à présent le paiement différé. 

Enseignes de mobiliers ou de produits high-tech proposaient déjà à leurs clients de régler en plusieurs fois sans frais. Mais c’est une première pour les enseignes d’alimentation. En effet, la chaine Casino propose maintenant à ses clients de pouvoir payer à une date ultérieure que celle du jour de leurs achats.

Le but n’est pas d’étendre leurs dettes, mais de leur faciliter un peu le quotidien. Il est désormais possible de payer en plusieurs fois, voire plus tard.

Avec cette « ardoise numérique », les clients pourront choisir leur formule à partir de 20 euros d’achat (paiement en différé jusqu’à 31 jours) ou 50 euros (en plusieurs fois), et pour un caddie allant jusqu’à 300 euros.

Le service est gratuit et accessible via l’application Casino Max, que les clients peuvent installer sur leur Smartphone.

« L’objectif n’est pas de permettre à nos clients d’accumuler de la dette« , explique Cyril Bourgois, directeur des opérations du groupe Casino. « C’est un peu comme l’ardoise d’autrefois quand on allait chez le petit commerçant et qu’on avait la possibilité de payer quelques jours plus tard », a-t-il ajouté.

Certains artisans boulangers ou bouchers ont toujours fonctionné ainsi. Quand on leur demande pourquoi, ils répondent naturellement qu’il est important d’aider les gens dans le besoin, et que s’ils peuvent les aider avec le crédit, pourquoi ne pas le faire ?

 

Ikea devient parisien

La très célèbre marque suédoise Ikea deviendra parisienne à partir de 2019. Même si l’enseigne est présente extra-muros, elle n’est pas présente dans la capitale. Afin de continuer à s’imposer devant ses concurrents, Ikea s’implante au coeur de Paris. 

Forte de sa notoriété, la marque suédoise Ikea n’est pas en reste face à ses concurrents. En effet, différents magasins d’aménagements se disputent la place de leader. Malgré tous les efforts fournis par ses pairs, Ikea reste très largement en tête.

Pour 2017, Ikea a annoncé un chiffre d’affaires en hausse de 2,4% pour la France, à 2,69 milliards d’euros. Ses ventes en ligne ayant progressé de 13,6%, l’enseigne expérimente des points de retrait, des casiers en magasins, et la livraison le dimanche, afin de toucher plus de clients.

Afin d’assoir sa suprématie, l’enseigne s’offre un magasin sur trois étages, sur boulevard de la Madeleine, situé dans le huitième arrondissement de Paris. Ce nouvel espace, qui implique un investissement de près de 6 millions d’euros, verra le jour d’ici à l’été 2019.

Depuis son implantation en région parisienne, l’enseigne se heurte aux difficultés des citadins pour se rendre dans les magasins. Afin d’y remédier, le groupe Ikea souhaite, avec  ce nouvel emplacement, « faciliter l’accès à son offre aux citadins ».

Selon Walter Kadnar, PDG d’Ikea France, ce nouveau format permettra de « répondre aux habitudes et aux attentes des Parisien, et de mettre en avant, par exemple, des solutions adaptées aux petits espaces ».

Au-delà de cet aspect de localisation, ce nouveau magasin d’Ikea sera un ovni parmi ceux déjà en place. En effet, le groupe a affirmé qu’il sera différent de ce qui est proposé habituellement, avec une nouvelle manière de présenter son offre grâce au développement de services et du digital.

 

 

Le cœur d’acier des Etats-Unis

Le 8 mars dernier, le controversé président des Etats-Unis Donald Trump, a confirmé sa volonté de mettre en place des droits à l’importation sur l’acier, à hauteur de 25%, et sur l’aluminium, à hauteur de 10%. 

Cette mesure, effective dès le 23 mars prochain, concernera tous les pays exportateurs, avec une exception pour le Canada et le Mexique, qui « pour le moment », ne sont pas concernés.

Une annonce qui sème une nouvelle fois la discorde entre les Etats-Unis et le reste du monde. Par exemple la commissaire au commerce, Cécilia Malström, a déclaré que « l’Union Européenne devrait être exemptée » de ces taxes douanières, déjà existantes sur certains de ces produits.

En France, c’est Bruno Lemaire, ministre de l’économie et des finances, qui s’est exprimé sur Twitter suite à l’annonce du département du commerce américain:

« Une guerre commerciale ne fera que des perdants. Avec nos partenaires européens, nous allons évaluer les conséquences sur nos industries et les réponses à apporter. »

Le Japon a également dénoncé cette décision, par la voix du ministre des affaires Taro Kano, qui a déclaré :

« Nous prendrons les mesures appropriées après avoir étudié avec attention les conséquences sur l’économie japonaise (…) La mesure pourrait avoir un impact grave sur les relations économiques entre les Etats-Unis et le Japon, qui sont alliés, et également sur l’économie mondiale.« 

Le ministre chinois des affaires étrangères s’est également exprimé, sans surprise, en allant dans le même sens : « Dans notre époque mondialisée, ceux qui recourent à la guerre commerciale choisissent le mauvais remède. Ils ne feront que pénaliser les autres, tout en se pénalisant eux-mêmes. »

Bien que l’entrée en vigueur de cette décision ait été annoncée pour le 23 mars prochain, le président Donald Trump a, en réalité, jusqu’au 11 et 20 avril pour maintenir ou non son choix d’imposer ces taxes.

 

 

 

 

 

 

 

Airbus sauvé par Emirates

Emirates va acheter 36 Airbus A380 au géant français de l’aéronautique. Une bouffée d’air fraîche, pour un groupe pris à la gorge.

Alors que les finances d’Airbus sont au plus mal depuis quelques années, le constructeur d’avion français risquait gros en négociant ces contrats avec la compagnie aérienne du Golfe.

En effet, sans une commande très importante, le groupe allait devoir renoncer à son principal programme et vraisemblablement sombrer peu à peu.

Il n’en sera rien, puisque la vente a bien été finalisée et que Emirates a commandé ces 36 A380, pour un montant total de 16 milliards d’euros.

Une somme faramineuse, qui va permettre au groupe de Blagnac de pérenniser son dernier programme phare d’investissement R&D.

Avec cette nouvelle commande, la compagnie des émirats se place définitivement comme le meilleur client d’Airbus. En comptabilisant cette nouvelle commande, cela fera 178 appareils en tout achetés à Airbus par Emirates.

Selon les porte-paroles de la compagnie, qui ont annoncé cette information sur le compte Twitter d’Emirates, cette transaction « souligne notre confiance dans le programme A380« .

 

Croissance : la Banque de France optimiste

La Banque de France a fait part de ses estimations optimistes concernant l’évolution de la croissance française, pour le deuxième trimestre 2017.

L’élection du nouveau président de la république française, Emmanuel Macron, a-t-elle déjà un effet positif sur le dynamisme de notre économie ? C’est la question que l’on peut se poser en découvrant une nouvelle accélération de la croissance française au deuxième trimestre 2017.

En effet, lundi 12 juin 2017, la Banque de France a communiqué ses nouvelles estimations pour la croissance française au deuxième trimestre 2017 : elle prévoit une hausse de 0,5% du PIB.

Il s’agit d’une seconde bonne nouvelle après la croissance de 0,3% du PIB au premier trimestre.

L’organisme a expliqué que la croissance avait été particulièrement forte en avril et mai, mais qu’elle devrait ralentir un peu en juin.

« Le travail temporaire repart, tandis que les activités informatiques marquent une pause », selon le communiqué publié par l’organisme financier.

 

 

Black Friday : record pour Amazon

Le géant américain de la vente en ligne, Amazon, a enregistré des chiffres de ventes record, à l’occasion du Black Friday de cette année, qui avait lieu vendredi dernier (25 novembre).

Le Black Friday est devenue une tradition incontournable de la culture américaine. Chaque année, le lendemain du jeudi de Thanksgiving, journée de fête nationale qui célèbre l’accueille des colons par les amérindiens, se tient le Black Friday.

Le concept est simple : les magasins font ce jour là d’importantes ristournes et soldes, qui permettent aux américains de préparer leurs achats de Noël à moindre frais.

Ces journées sont connues pour être celles où les américains achètent le plus. Cette année, c’est en ligne qu’a eu lieu la révolution, avec les chiffres stratosphériques des ventes d’Amazon.

En effet, le site de vente en ligne a écoulé 1,4 millions de produits sur la seule journée du vendredi, ce qui représente 970 commandes à la minutes. Ces chiffres indiquent une progression de 40% par rapport à l’année dernière.

De quoi ravir les équipes d’Amazon, à l’image de Frédéric Duval, Country Manager chez Amazon.fr, qui a expliqué, sourire au lèvres, que «les clients nous ont montré une fois encore combien ils apprécient le Black Friday et l’opportunité qui leur est offerte de réaliser des économies substantielles pour leurs achats de Noël».

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