Nutella : la police doit intervenir (vidéo)

Les forces de police ont du intervenir à l’occasion d’une émeute provoquée par une promotion sur le Nutella.

Ces images ont à la fois choqué et amusé la France entière. La semaine dernière, plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient les émeutes causées par une promotion sur un pot de Nutella.

En cause, la chaine de supermarchés Intermarché. Pour une promotion à durée limitée, allant sur une période de deux jours du 25 au 27  janvier.

Cette réduction de 70% sur le tarif habituel de la pâte à tartiner proposait donc des pots de 950 grammes au tarif de 1,41 euro.

Une opération commerciale qui aura été victime de son succès puisque les acheteurs se sont rués dans les quatre magasins de France qui proposaient cette offre et ont dévalisé les pots de Nutella, créant plusieurs émeutes, dont une où la police à du séparer les acheteurs compulsifs de Nutella.

Du cote de Ferrero , qui possède Nutella, on s’est désolidarisé de l’opération, rejetant la responsabilité sur les distributeur Intermarché.

«La société Ferrero souhaite rappeler que cette promotion a été décidée de manière unilatérale par l’enseigne Intermarché», a tenu à préciser le groupe dans un communiqué.

Loi Travail : Macron dérape sur les fainéants

Les déclarations du Président de la république, Emmanuel Macron, concernant l’application de sa loi travail ont choqué de nombreux observateurs…

En marge de son voyage d’Etat en Grèce, à Athènes, Emmanuel Macron a annoncé qu’il ne comptait pas reculer face aux agitations sociales, programmées à partir de cette semaine, afin de lutter contre son projet de réforme du Travail.

Pour ce faire, il a employé une phrase qui a fortement déplu à de nombreux chroniqueurs et éditorialistes : il a annoncé qu’il « serait d’une détermination absolue et ne céderait rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes ».

De quoi énerver les journalistes, dont l’une de Libération, Alexandra Schwartzbrod, qui regrette que « dans un pays qui sort tout juste d’une campagne électorale clivante et brutale, on ne gouverne pas en injuriant une partie de la population ».

Et cette dernière de poursuivre, en expliquant que « Emmanuel Macron a été élu parce qu’il incarnait l’espoir d’une autre façon de faire de la politique, moins excluante. Et voilà qu’il se comporte comme un maître d’école sous la IIIe République, distribuant coups de règle et coups de trique à chaque cours magistral ».

Même son de cloche du côté de Jean-Emmanuel Ducoin, éditorialiste à L’Humanité, pour qui « nous savons désormais qu’Emmanuel Macron, usant et abusant d’un tel degré d’implication verbale pour exprimer sa haine du bas-peuple et des Français qui ne pensent pas comme lui, dirige les affaires de l’État avec toutes les formes inspirées par le mépris. À commencer par le principal, le pire, celui qui détermine le sens de son action : le mépris de classe ».

 

Pierre Ménès avoue son salaire dans TPMP

Le présentateur de télévision spécialisé dans le football, Pierre Ménès, est à nouveau au cœur d’une polémique après avoir donné le salaire qu’il percevra cette année en tant que chroniqueur de TPMP.

Tous les ans, l’animateur polémique Cyril Hanouna fait le buzz et relance son émission en renouvelant son stock de chroniqueurs.

Après avoir accueilli un temps Nabilla, l’animateur a testé de nombreuses autres personnalités variées.

Cette année, c’est donc le journaliste sportif et blogueur Pierre Ménès, qui participera à l’émission.

Ce dernier a d’ailleurs avoué lors d’une interview qu’il gagnerait 700 euros par émission, en précisant « 700 balles, c’est assez insignifiant niveau pognon ».

Une déclaration sans langue de bois qui a choqué de nombreux internautes.

Maison Actuelle : tirage réussi

Le tirage Maison Actuelle, tête de gondole déco et art de vivre du groupe d’édition spécialisé HD Média, bénéficie de l’engouement grandissant et jamais démenti autour des problématiques de décoration et de design chez les consommateurs français.

Depuis plusieurs années, les Français semblent devenus de véritables professionnels de la décoration. D’ailleurs, une grande chaine de télévision nationale comme M6 surfe sur cette vague avec plusieurs émissions dédiées à cette thématique, dont le célèbre D&Co, qui a grandement participé à démocratiser ces questions.

Dans ce contexte, un magazine haut de gamme, dédié à la décoration d’intérieur et d’extérieur, ne pouvait que s’imposer dans le paysage de la presse française.

C’est le cas de Maison Actuelle, qui s’adresse aux professionnels du secteur, mais reste accessible à tous, notamment grâce à la qualité de ses illustrations et aux nombreux conseils distillés au long de ses pages.

Dans chaque numéro, les spécialistes de la décoration de Maison Actuelle dressent un état des lieux des tendances du moment, tout en apportant de nombreux conseils aux lecteurs.

Maison Actuelle est un titre du groupe Presse Actuelle, spécialisé dans les médias professionnels, qui édite également les magazines Cheminée Actuelle, Déco Mag, ainsi que Maison & Jardin actuels dont le dernier numéro est en kiosque depuis le début de l’été.

Repenser l’économie : un ouvrage passionnant

Dans Repenser l’économie, les économistes François Geerolf et Gabriel Zucman nous donnent des clés pour faire évoluer notre société.

Est-il possible de concevoir la mise en place, à l’échelle planétaire, d’un système économique alternatif, plus soucieux de l’homme et de l’écologie ?

Depuis la crise des subprimes de 2008 et les conséquences dramatiques qu’elle a eu sur les économies de toute la planète, mais surtout au niveau social, la population prend peu à peu conscience que le système économique actuel n’est plus au service de l’homme.

Désormais, c’est l’homme qui est au service de l’économie mondialisée.

Paru aux éditons La découverte en 2012, Repenser l’économie nous donne quelques clés pour une révolution douce de notre système économique. Un système qui pourrait être plus durable, plus respectueux de l’environnement et des humains.

Cet ouvrage pédagogique a également le mérite de se lire très facilement et d’être fort accessible. Une belle surprise.

 

Groupe HD Media : le succès au rendez-vous

En misant sur des revues hyperspécialisées et haut de gamme, les responsables du groupe de presse HD Média ont réussi à créer un modèle économique rentable, dans un secteur pourtant en crise. Un exemple porteur d’espoir pour les acteurs français de la presse papier.

Face à l’avènement du net et à ses conséquences désastreuses sur les modèles économiques de la presse papier, certains acteurs du secteur comme le groupe HD Média ont adopté des stratégies payantes, qui leur permettent de tirer leur épingle du jeu. En l’occurrence, deux choix stratégiques expliquent le succès du groupe HD Média : la segmentation et l’exigence.

Une segmentation du lectorat réalisée de fait, par la production de revues ultra spécialisées et sectorielles, qui évitent la concurrence et permettent de cibler au mieux leurs audiences.

Une exigence, ensuite, par la volonté de proposer une revue extrêmement qualitative à ses lecteurs. Cet aspect luxueux dans les produits et sujets développés par les magazines du groupe se retrouve logiquement dans les maquettes de ces revues : style épuré et classieux, papier de qualité, photos et visuels de grande qualité, tout est fait pour faire de ces magazines des frontières vers le monde de l’élégance.

Ainsi, avec ses magazines spécialisés, Maison Actuelle, Deco Mag, Maison & Jardin Actuels, ainsi que Cheminée Actuelle, le groupe HD Média vise un lectorat passionné et exigeant. Les annonceurs sont particulièrement friands de cette audience ciblée et qualitative, qui leur assure des retours marketing et communicationnels inégalables.

Les annonceurs se bousculent donc pour disposer d’un espace sur les titres du groupe HD Media, dont les choix stratégiques ont permis une rentabilité qui dure depuis les 8 années que les magazines ont été lancés.

Matthieu Pigasse et Xavier Niel achètent AB Production

Mediawan, le fonds d’investissement de Matthieu Pigasse, Xavier Niel et Pierre-Antoine Capton a annoncé qu’il allait acheter le groue AP, pour un montant proche de 270 millions d’euros.

Le groupe AB est devenu célèbre avec les séries AB Production, dans les années 90, comme (entre de nombreux autres) Hélène et les Garçons, Premier Baiser, ou encore Salut les Musclés.

Depuis, ce groupe a continué à produire des créations audiovisuelles, mais il s’est également positionné en tant que diffuseur, avec ses chaines dont RTL9, Golf Channel ou AB Moteurs.

Il s’agit donc d’un rachat important dans le secteur médiatique. D’ailleurs, Mediawan ne cache pas ses intentions qui sont de devenir «leader européen des contenus» audiovisuels.

Une ambitions expliqué par Matthieu Pigasse, qui a déclaré :

«Nous allons utiliser AB comme plateforme de départ pour créer le premier groupe indépendant de contenus en Europe. Nous allons réaliser un certain nombre d’acquisitions dans quelques semaines ou quelques mois, dont la valeur cumulée sera facilement supérieure à 1 milliard d’euros».

 

Montebourg veut baisser la CSG

L’ancien ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, a annoncé vouloir baisser la contribution sociale généralisée (CSG) pour les petits salaires, s’il est élu président de la république.

Les Primaires socialistes pour la candidature à la prochaine élection présidentielle sont bien lancées. Et le principal opposant au grand favori Manuel Valls, son ancien ministre Arnaud Montebourg, a décidé de faire parler de lui.

Ainsi, mardi 3 janvier, il s’est rendu sur le plateau de la radio RTL, afin de présenter son programme politique. L’une de ses propositions a particulièrement marqué : il s’agit d’une baisse de la CSG  pour les petits salaires, qui permettrait, selon, lui de redistribuer du pouvoir d’achat aux « classes populaires ».

Une mesure qu’il juge nécessaire et qui sera « la première des décisions » qu’il prendra en cas d’élection à la fonction suprême. Et de préciser qu’il souhaite « diminuer la CSG sur tous les salariés qui aujourd’hui sont en situation d’être entre un smic ou 1,3 smic, c’est-à-dire jusqu’à 1 500 euros net ».
L’ancien compagnon d’Audrey Pulvar a justifié cette décision par la situation actuelle de nitre pays : « aujourd’hui, le problème de la France, c’est que ceux qui travaillent ont des fins de mois difficiles »
Lundu 2 janvier, c’était un autre candidat à la primaire socialiste, Benoit Hamon, qui s’était exprimé sur les antennes d’Europe 1.

Affaire Cahuzac : le choix des coupables ?

Le 18 décembre, le président de la 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris, a rendu son verdict dans l’affaire politico-judiciaire la plus marquante du quinquennat de François Hollande. Un procès hors-norme qui soulève un certain nombre de questions. Derrière la sévérité apparente de la condamnation de l’ancien ministre, se cache en creux un étonnant laxisme à l’égard de certains établissements bancaires.

Pris au piège de la dimension symbolique du procès, Jérôme Cahuzac a écopé d’une sanction particulièrement lourde. Trois ans de prison ferme. Son ex-femme, Patricia, a été condamnée à deux ans de prison ferme. Dernier accusé, la Banque Reyl, qui devra verser près de deux millions d’euros d’amende.

Des peines lourdes qui en imposent. En apparence du moins. Car à y regarder de plus près, c’est surtout la liste des établissements bancaires non poursuivis qui impressionne. Sur les trois millions et demi d’euros cachés par le couple Cahuzac au fisc français, six cent mille ont été placés dans les coffres genevois de la Banque Reyl. Quid des deux millions neuf cent mille restant ?

L’instruction a pourtant permis de localiser l’intégralité des comptes illicites de l’ancien ministre. Et surprise, la liste des banques impliquées compte plusieurs des cadors du secteur bancaire : UBS, Julius Baer, Royal Bank of Scotland, BNP Paribas et la Banque Postale. « Too big to jail », pour détourner  le célèbre dicton américain ? Peut-être bien.

Le choix du juge Peimane Ghaleh-Marzban, de ne poursuivre que la plus petite et la moins influente des banques impliquées, pose tout de même des questions. Fallait-il coûte que coûte faire un exemple sans fragiliser un secteur bancaire traumatisé par le tsunami de 2008 ?

La condamnation même de la Banque Reyl porte en elle pas mal d’ambiguïtés. Condamné à une amende, la banque n’a pourtant pas reçu d’interdiction d’exercer une activité bancaire en France. Plus étonnant, le juge a affirmé dans son verdict que l’activité de la banque était conforme à la législation suisse en vigueur. Coupable mais pas responsable ?

Pour justifier cette étrange condamnation et ne pas se justifier sur le sort des autres banques, le tribunal a évoqué « l’instrument de la dissimulation des avoirs ». Comme si l’on condamnait un fabricant de couteaux lorsqu’une victime est poignardée…

La presse anglaise dopée par Meghan Markle

Depuis l’officialisation de la relation entre le Prince Harry et la comédienne Meghan Markle, les ventes de tabloïds et autre magasines ont explosé outre-Manche.

Avec le Brexit et la sortie inattendue de l’Union Européenne, la grande-Bretagne craint pour son économie et sur les conséquences que pourraient avoir ce Brexit sur le niveau de vie.

Du coup, toute bonne nouvelle est bonne à prendre pour l’économie britannique, qui s’est félicité des recettes de sa presse ces dernières semaines.

Des recettes en hausse, qui s’expliquent par les différents articles publiés sur la nouvelle petite amie officielle du Prince Harry, Meghan Markle.

Si elle est loin d’éclipser la belle Kate Middleton du cœur des Anglais, Meghan Markle a le mérite d’attiser leur curiosité.

L’actrice qui a notamment joué dans Les Experts et qui cartonne en ce moment aux États-Unis dans une autre série policière, a choqué de nombreux britanniques qui ont découvert ses photos les plus coquines sur internet.

De quoi soutenir durablement le secteur ? En cas de mariage, certainement…

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