227 magazins Carrefour tirent leur rideau

Ce week-end, le groupe Carrefour l’a annoncé. Faute de clientèle mais surtout de repreneurs, 227 magasins, disséminés sur le territoire, sont appelés à fermer leurs portes d’ici cet été. 

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« Nous avons reçu 23 offres formalisées et 22 offres que l’on va étudier, et qui sont susceptibles d’être formalisées dans les prochains jours », explique-t-on chez Carrefour.

Ces magasins de l’ancien réseau de hard discount Dia en France, racheté au groupe espagnol en 2014, ont été mis en vente par Carrefour dans le cadre du vaste plan de transformation annoncé, fin janvier, par son PDG, Alexandre Bompard.

L’inquiétude grandit du côté des salariés

2 400 postes vont être supprimés sur les sites du siège et 227 magasins de proximité, Carrefour market, Carrefour city ou Carrefour contact, vont fermer leurs portes dans les prochaines semaines.

« La direction a accepté de permettre à des salariés de partir en préretraite par accord d’entreprise sur les hypermarchés, les supermarchés et dans la logistique, ce qui permettra de libérer 1 500 à 1 800 postes, de manière à faciliter le reclassement des salariés des ex-Dia concernés par la fermeture de leurs magasins », expliquait alors Michel Enguelz, délégué national de FO chez Carrefour.

« D’ici à l’été, chacun des salariés concernés par les fermetures recevra trois offres de reclassement, localisées et individualisées, dont au moins deux en interne », ajoute le groupe Carrefour.

Pour les clients concernés par la fermeture de leur magasin, le coup est rude. En effet, ils devront trouver un autre lieu où faire leurs courses.

 

HD Média Groupe et Maison Actuelle : pour vivre dans l’air du temps

Le retour des beaux jours sonne le glas de l’hiver, et annonce presque l’arrivée… de l’été ! Comme à son habitude, HD Média Groupe était en pleine ébullition afin de proposer à ses lecteurs, le tout nouveau numéro de Maison Actuelle.

 

Pour cette édition printemps-été 2018 de Maison Actuelle, HD Média Groupe n’a pas lésiné en matière de conseils et de contenus. Toujours très pointues et dotées d’une véritable expertise, les astuces proposées dans Maison Actuelle se sont parées des couleurs chaudes et enivrantes du printemps.

 

Les lecteurs du groupe HD Média Groupe pourront, comme à l’accoutumée, retrouver les précieux conseils de professionnels, et enfin façonner leurs logements à leur image.

 

Dans ce numéro, tout est passé au peigne fin. Les passionnés de décoration peuvent ainsi bénéficier de conseils adaptés à la tendance, et pourront être fiers d’évoluer dans un élément en accord avec l’air du temps.

 

Ce mois-ci, Maison Actuelle est placé sous le signe de la modernité et du talent. Du sol au plafond, de la chambre à coucher au jardin, rien n’est laissé au hasard. HD Média Groupe et ses rédacteurs dénichent les meilleures tendances, qui feront le bonheur de demain.

Téléphonie mobile : une panne affecte les opérateurs

Ce lundi matin, une panne de grande ampleur a perturbé tous les opérateurs français. Le problème technique touchait aussi bien la téléphonie mobile, fixe et parfois Internet, qui continue de passer par le réseau téléphonique. 

Dès qu’il y a un problème du moindre acabit, le réseau social Twitter devient le bureau des plaintes. Ce lundi matin, cela n’a pas dérogé à la règle. Des centaines d’internautes se sont plaints auprès de leurs opérateurs respectifs car ils étaient dans l’impossibilité de joindre leurs interlocuteurs, d’envoyer des SMS et d’accéder à Internet.

Downdetector, qui scrute en temps réel le moindre problème sur les différents réseaux, a enregistré un pic d’incidents chez les clients Orange. Centralisée initialement chez Orange, la panne s’est vite répandue à tous les autres opérateurs français par « ricochets ».

« Un incident majeur identifié chez Orange au niveau national impacte en ce moment tous les opérateurs. Les équipes d’AERA Télécom sont sur le pont et en alerte pour réduire l’impact de cette panne nationale Orange », a expliqué AÉRA Télécom, Opérateur Télécom des Entreprises en France.

Pour l’heure, le leader de la téléphonie mobile ne s’est toujours pas exprimé sur cette panne de grande ampleur. Concours de circonstances, Orange a lancé, le matin même, le hasthag #SansMonTelephone.

Les clients n’ont que moyennement ri, et n’ont pas hésité à utiliser ce hasthag contre Orange.

 

Arbitrage Cirdi : 40 millions d’euros réclamés à la Côte d’Ivoire

Le « café de Rome » établissement hôtelier bordant la lagune Ebrié au Plateau a été rasé par les pelleteuses en mars 2015 pour faire place au projet d’aménagement de la Baie de Cocody financé par l’Etat marocain.

Selon des informations de sources concordantes ce mercredi, la société « Resort Co Invest Abidjan (RCI-A) propriétaire de l’hôtel, a porté le litige qui l’oppose à l’Etat ivoirien devant le CIRDI, le tribunal arbitral qui dépend de la banque mondiale.

Lesdites informations révèlent que, les avocats de l’Etat ont contesté la compétence de cette juridiction mais n’ont pas été suivis. L’avocate de RCI-A, Danyèle Palazo-Gauthier, a obtenu gain de cause.

L’audience sur le fond de l’affaire devrait se tenir en 2019 et RCI-A réclamerait plus de 40 millions d’euros soit 26, 2 milliards de FCFA à l’Etat en guise de dommages et intérêts.

Par ailleurs, d’autres sources indiquent que, une autre affaire a été portée devant le Cirdi concernant toujours l’Etat ivoirien. Il s’agirait de la société américaine « Wise Solutions Rechercher Wise Solutions », pour rupture abusive de sa convention de gestion des déchets à Abidjan.

En 2015, les autorités ivoiriennes auraient annulé unilatéralement le contrat de 200 milliards de FCFA d’une durée de quinze ans qui le liait à ladite société pour non-respect du cahier des charges.

Un argument qui serait contesté par le patron de Wise Solutions, Alan Kenneth Wong et qui réclamerait 300 millions de dollars de dommages et intérêts.

Commerce : l’ardoise plus populaire que jamais

L’ardoise de nos grands-parents semble à nouveau être populaire. De plus en plus de Français se retrouvent en difficulté pour honorer leurs factures et pour payer quelques courses en fin de mois. Afin de remédier à cela et en soulager plus d’un, plusieurs enseignes d’alimentation, dont Casino, proposent dès à présent le paiement différé. 

Enseignes de mobiliers ou de produits high-tech proposaient déjà à leurs clients de régler en plusieurs fois sans frais. Mais c’est une première pour les enseignes d’alimentation. En effet, la chaine Casino propose maintenant à ses clients de pouvoir payer à une date ultérieure que celle du jour de leurs achats.

Le but n’est pas d’étendre leurs dettes, mais de leur faciliter un peu le quotidien. Il est désormais possible de payer en plusieurs fois, voire plus tard.

Avec cette « ardoise numérique », les clients pourront choisir leur formule à partir de 20 euros d’achat (paiement en différé jusqu’à 31 jours) ou 50 euros (en plusieurs fois), et pour un caddie allant jusqu’à 300 euros.

Le service est gratuit et accessible via l’application Casino Max, que les clients peuvent installer sur leur Smartphone.

« L’objectif n’est pas de permettre à nos clients d’accumuler de la dette« , explique Cyril Bourgois, directeur des opérations du groupe Casino. « C’est un peu comme l’ardoise d’autrefois quand on allait chez le petit commerçant et qu’on avait la possibilité de payer quelques jours plus tard », a-t-il ajouté.

Certains artisans boulangers ou bouchers ont toujours fonctionné ainsi. Quand on leur demande pourquoi, ils répondent naturellement qu’il est important d’aider les gens dans le besoin, et que s’ils peuvent les aider avec le crédit, pourquoi ne pas le faire ?

 

Une rencontre au sommet

C’est la rencontre phare du mois d’avril. Emmanuel Macron, président de la République française, était attendu en début de semaine à Washington, afin de rencontrer le président américain Donald Trump.

Après une première rencontre en France le 14 juillet dernier, c’est au tour d’Emmanuel Macron se rendre aux Etats-Unis afin de rencontrer le président américain. De lundi à mercredi, le président français a enchainé les temps forts et les entretien dans le bureau Ovale de la Maison Blanche. Il était également attendu pour un discours devant le congrès américain.

Pour cette visite officielle, Emmanuel Macron n’est pas venu seul. En effet, sa épouse (et première dame) Brigitte Macron était également de la partie. Dans ses valises, le président de la République a également convié plusieurs ministres tels que Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires Étrangères, la ministre des Armées Florence Parly, ou encore Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie.

Au-delà de la bonne entente apparente entre les deux présidents, de lourds sujets tels que la situation en Syrie ou le nucléaire ont été abordés.

Dimanche dernier, le président français a de nouveau insisté sur l’importance d’être présent de manière durable en Syrie. « Si nous partons définitivement et complètement nous laisserons la place au régime iranien et à Bachar al-Assad, qui prépareront la prochaine guerre, alimenteront un nouveau terrorisme. Même après la fin de la guerre contre l’Etat Islamique (EI), les Etats-Unis, la France, nos alliés et même la Russie et la Turquie auront un rôle majeur à jouer pour créer cette nouvelle Syrie », avait-il souligné.

Cette rencontre, très attendue dans le monde politique, pourrait donner un nouvel élan.

 

 

Ikea devient parisien

La très célèbre marque suédoise Ikea deviendra parisienne à partir de 2019. Même si l’enseigne est présente extra-muros, elle n’est pas présente dans la capitale. Afin de continuer à s’imposer devant ses concurrents, Ikea s’implante au coeur de Paris. 

Forte de sa notoriété, la marque suédoise Ikea n’est pas en reste face à ses concurrents. En effet, différents magasins d’aménagements se disputent la place de leader. Malgré tous les efforts fournis par ses pairs, Ikea reste très largement en tête.

Pour 2017, Ikea a annoncé un chiffre d’affaires en hausse de 2,4% pour la France, à 2,69 milliards d’euros. Ses ventes en ligne ayant progressé de 13,6%, l’enseigne expérimente des points de retrait, des casiers en magasins, et la livraison le dimanche, afin de toucher plus de clients.

Afin d’assoir sa suprématie, l’enseigne s’offre un magasin sur trois étages, sur boulevard de la Madeleine, situé dans le huitième arrondissement de Paris. Ce nouvel espace, qui implique un investissement de près de 6 millions d’euros, verra le jour d’ici à l’été 2019.

Depuis son implantation en région parisienne, l’enseigne se heurte aux difficultés des citadins pour se rendre dans les magasins. Afin d’y remédier, le groupe Ikea souhaite, avec  ce nouvel emplacement, « faciliter l’accès à son offre aux citadins ».

Selon Walter Kadnar, PDG d’Ikea France, ce nouveau format permettra de « répondre aux habitudes et aux attentes des Parisien, et de mettre en avant, par exemple, des solutions adaptées aux petits espaces ».

Au-delà de cet aspect de localisation, ce nouveau magasin d’Ikea sera un ovni parmi ceux déjà en place. En effet, le groupe a affirmé qu’il sera différent de ce qui est proposé habituellement, avec une nouvelle manière de présenter son offre grâce au développement de services et du digital.

 

 

Une erreur chez Samsung… et des employés multimillionnaires !

Pas sur que cette (grosse) erreur ait plus à tout le monde. La semaine dernière, le comptable en charge des salaires chez Samsung Securities, (ndlr : filiale finance du géant sud-coréen) a fait une faute de frappe a plus de 85 milliards d’euros.

Vendredi 6 avril, Samsung Securities devait verser une prime de 1 000 wons à ses employés, soit l’équivalent de 78 centimes. Mais le trader qui s’en occupait a commis une erreur en envoyant 1 000 nouvelles actions à chaque personne de l’entreprise, soit 2000 salariés. Une erreur qui coûte cher au groupe, puisqu’elle s’élève à 85 milliards d’euros !

En quelques minutes seulement, ces employés chanceux sont donc devenus millionnaires. S’il a suffit d’une poignée de minutes pour remplir leurs comptes, les responsables du groupe ont eux mis plus de 35 minutes avant de se rendre compte de la bourde, et de récupérer les titres. Petit problème pour Samsung : 16 salariés se sont empressés de revendre les actions afin d’empocher la coquette somme de 9,3 millions d’euros chacun.

Dans la foulée, le FSS, régulateur financier coréen, a mandaté huit experts pour mener une enquête qui doit permettre de comprendre comment une telle erreur a pu se produire. Selon la presse coréenne, ils souhaitent vérifier le système informatique et le logiciel comptable utilisé par le trader, en charge des opérations financières. Le FSS compte également interroger les 16 salariés s’étant empressés de revendre les actions.

Au-delà de ces conséquences pour la filiale Samsung Securities, cette erreur de frappe a d’autres conséquences. Son titre a chuté de 12%, et le marché a des doutes sur sa fiabilité.

« Cette affaire a révélé un problème sérieux dans les systèmes internes qui ne peut être considéré comme une erreur d’un individu », a déclaré le gouverneur de la Banque centrale, en ajoutant qu’il « a fallu 37 minutes entre l’émission de dividendes, et la suspension de négociation, ce qui signifie qu’il n’y avait aucun filet de sécurité ».

 

 

 

Apprentissage et alternance : à quel prix ?

Depuis plusieurs années, les contrats d’apprentissage et de professionnalisation sont très prisés des étudiants. Ils leur permettent d’acquérir un solide bagage professionnel, et d’être considérés comme des salariés à part entière, avec tout ce que cela représente. Leurs études sont prises en charge, leur enlevant un poids financier de taille. Mais combien coûte cette voie pour les entreprises ? 

Master, BTS, bachelor… Aujourd’hui, presque toutes les formations ont la possibilité d’être suivies en alternance ou en contrat de professionnalisation. Embaucher un apprenti ou un jeune en contrat de professionnalisation présente de nombreux avantages. Les aides financières peuvent être accordées aux entreprises qui embauchent un apprenti, ou un étudiant alternant.

Pour les entreprises, ces nouveaux contrats répondent à des enjeux phares de l’entreprise, parmi lesquels :

  • 94 % des salariés estiment que l’alternance permet d’être mieux préparé au monde de l’entreprise
  • 61 % des salariés estiment que l’arrivée d’un alternant évide la création d’un nouveau poste
  • Enfin, 64 % des salariés pense que l’alternance offre une opportunité d’innovation pour l’entreprise.

Mais bien que les contrats d’apprentissage et autres contrats de professionnalisation soient devenus une voie royale pour tous les jeunes en études supérieures, il n’en reste pas moins que les entreprises restent encore frileuses à l’idée accueillir les étudiants. En effet, recruter un apprenti ou un jeune en contrat pro représente un investissement en temps, mais surtout en argent.

L’entreprise qui accueille un apprenti ou un alternant a longuement peser le pour et le contre avant de prendre sa décision. En effet, même si l’étudiant représente un atout indéniable à l’entreprise, il peut la mettre en difficulté.

L’entreprise accueillante doit prendre en charge la totalité (ou quasi totalité) de la formation de l’étudiant. Même si elle peut bénéficier d’aides de l’état relatives à la taille de la structure, les études supérieures sont très onéreuses. Comptez près de 10 000 euros pour un master dans un établissement privé, et à peine moins dans un établissement public. 51 % des salariés évoquent d’ailleurs le coût de la formation pour l’entreprise.

Par ailleurs, l’apprenti ou l’étudiant en contrat pro est considéré comme un salarié à part entière. Il bénéficie alors d’un salaire bien plus élevé que celui d’un simple stagiaire, et est en droit de réclamer tous les avantages en nature dont bénéficient les autres salariés, comme des tickets restaurants, ou prise en charge des frais kilométriques.

 

 

 

 

 

Wassoul’Or : résultats encourageants un an après la reprise de la production

L’exploitant minier malien Wassoul’Or SA a publié mercredi ses résultats d’exportation douze mois après la reprise de l’exploitation de sa mine de Kodiéran. Avec une production de plus de 332 kilogrammes, stabilisée tout au long de l’année, les résultats sont encourageants alors que l’introduction de nouveaux procédés d’exploitation devrait fortement accroître la productivité de la mine dans les mois à venir.

Mise en suspens en raison de la situation sécuritaire au Mali, l’exploitation de la mine de Kodiéran a repris en avril 2017. Depuis cette date, Wassoul’Or SA a exploité et exporté 332,1250 kilos d’or durant les douze derniers mois.

La mine de Kodiéran, qui doit à terme produire six tonnes d’or par an, va se doter dans les mois à venir d’une unité de cyanuration en cuve (CIL), ce qui doit lui permettre d’accroître très fortement ses rendements en comparaison au procédé de traitement gravimétrique actuellement utilisé.

« Les équipements de l’usine de cyanuration ont été acquis et livrés », a indiqué la société dans son communiqué, avant de préciser qu’un contrat avait été signé « avec une société russe, GV Gold, en vue de superviser l’installation du volet de cyanuration, reprendre en main l’opération de l’usine et augmenter le taux de récupération de l’or pour atteindre 80% à 90% d’ici la fin d’année ».

Le groupe Wassoul’Or est l’un des principaux groupes miniers maliens. Fondé et dirigé par Aliou Boubacar Diallo, c’est la seule société minière du pays détenue majoritairement par des intérêts nationaux maliens. La mine d’or de Kodiéran, située à 300 kilomètres de Bamako, emploie 378 salariés.

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