Selon un rapport, la France compte 3 millions de millionnaires

D’après un rapport sur la richesse mondiale 2023 publié par UBS, 3 millions de millionnaires se trouvaient en France l’année dernière. Le géant bancaire suisse précise que 4,8% des millionnaires dans le monde vivaient dans l’Hexagone en 2022.

4,8% des millionnaires dans le monde résidaient en France en 2022, selon le rapport sur la richesse mondiale 2023 publié par la banque UBS. Un chiffre qui placerait la France à la troisième place des Etats fournissant le plus de millionnaires à travers le globe.

Pour effectuer ce calcul, la banque suisse s’est appuyée sur trois données : la taille de la population adulte, la richesse moyenne et l’inégalité des richesses. Avec 22,7 millions de millionnaires, les Etats-Unis occupent largement la première place, et fournissent 38,2% du total planétaire. La Chine se classe en deuxième position, avec 6 millions de millionnaires, soit 10,5% du total mondial.

La troisième place du podium à bougé en mai 2022, puisque le Japon a été dépassé par la France. Avec très précisément 2 821 000 millionnaires, l’hexagone compterait 4,8% des millionnaires dans le monde, d’après le rapport. Viennent ensuite l’Allemagne (4,4%) et le Royaume-Uni (4,3%). Les Pays-Bas et l’Italie fournissent quant à eux 2% de la population mondiale de millionnaires.

Le classement change légèrement si l’on zoom sur la population des très riches, soit ceux qui possèdent plus de 50 millions de dollars. Ils sont plus de 124 000 aux USA, 33 000 en Chine et 9 100 en Allemagne. Avec 3 890 très riches, la France occupe la 8ème place.

Contrairement à la majorité des pays développés, comme le Japon, l’Allemagne, le Royaume-Uni et les Etats-Unis, l’Hexagone n’a pas enregistré, l’année dernière, de diminution du nombre de millionnaires sur son territoire. Le développement de la France va donc en contradiction avec une tendance à la baisse du nombre de millionnaires à travers la planète. Ils sont passés de 62,9 à 59,4 millions entre 2021 et l’année dernière.

La Banque UBS, qui publie pour la première fois ce classement établi par Credit Suisse, ne livre pas d’explications claires par pays sur ces évolutions.

 

C’est quoi au juste l’économie de marché ?

L’économie de marché, modèle économique dans lequel les échanges de biens, de services et de facteurs de production sont déterminés par l’offre et la demande, est l’un des systèmes économiques les plus répandus et influents à l’échelle mondiale. Ce système repose sur le principe fondamental de la liberté économique et de la propriété privée, où les acteurs sont libres de prendre leurs décisions d’achat, de vente, d’investissement et de production en fonction de leurs intérêts personnels.

Fonctionnement de l’économie de marché :

Rôle des acteurs économiques :

Dans une économie de marché, les individus, les entreprises et les institutions sont les acteurs clés. Les individus, en tant que consommateurs, déterminent la demande de biens et de services, tandis que les entreprises, en tant que producteurs, répondent à cette demande en offrant des produits sur le marché. Les facteurs de production (travail, capital, ressources naturelles) sont également utilisés par les entreprises pour produire des biens et des services.

Mécanisme de fixation des prix :

Les prix des biens et des services dans une économie de marché sont déterminés par la confrontation entre l’offre et la demande. Lorsque la demande d’un produit est élevée et l’offre est faible, le prix augmente, incitant ainsi les producteurs à augmenter leur production pour réaliser davantage de bénéfices. En revanche, lorsque la demande est faible et l’offre est abondante, les prix baissent, poussant les producteurs à ajuster leur production en conséquence.

Concurrence :

L’économie de marché favorise généralement un environnement concurrentiel où de nombreuses entreprises rivalisent pour attirer les clients. Cette concurrence incite les entreprises à innover, à améliorer la qualité de leurs produits et à maintenir des prix compétitifs pour rester sur le marché.

Liberté de choix :

Les consommateurs bénéficient d’une liberté de choix, car ils peuvent décider d’acheter les biens et services qui répondent le mieux à leurs besoins et préférences individuelles. De même, les entreprises ont la liberté de choisir les produits qu’elles souhaitent produire et les marchés qu’elles souhaitent servir.

 

Avantages de l’économie de marché :

Allocation efficace des ressources :

L’économie de marché permet une allocation plus efficace des ressources car elle s’appuie sur les mécanismes de l’offre et de la demande, qui dirigent les ressources vers les secteurs où elles sont le plus nécessaires.

Innovation et progrès technologique :

La concurrence dans une économie de marché incite les entreprises à innover et à développer de nouvelles technologies pour rester compétitives.

Liberté économique :

Les individus et les entreprises jouissent d’une plus grande liberté économique dans leurs choix de consommation, de production et d’investissement.

Croissance économique :

L’économie de marché est souvent associée à une croissance économique plus rapide, car elle encourage l’investissement et la productivité.

 

Inconvénients de l’économie de marché :

Inégalités :

L’économie de marché peut conduire à des inégalités économiques, car certaines entreprises et individus peuvent accumuler une richesse considérable, tandis que d’autres peuvent se retrouver dans une situation de vulnérabilité économique.

Externalités négatives :

Les externalités négatives, telles que la pollution environnementale ou les problèmes sociaux, peuvent ne pas être correctement pris en compte par le marché, nécessitant une intervention gouvernementale pour les réglementer.

Instabilité économique :

L’économie de marché peut être sujette à des cycles économiques de croissance et de récession, ce qui peut entraîner des fluctuations importantes dans l’emploi et les niveaux de vie.

 

En conclusion, l’économie de marché est un système économique dynamique et largement adopté qui repose sur les forces du marché pour guider la production, la consommation et l’investissement. Bien qu’elle présente des avantages en termes d’efficacité, d’innovation et de liberté économique, elle n’est pas sans ses inconvénients, tels que les inégalités et les externalités négatives. Pour atténuer ces effets indésirables, de nombreux pays combinent l’économie de marché avec des politiques publiques pour assurer un équilibre entre les forces du marché et l’intérêt public.

Hôpital ophtalmologique Bouamatou : une référence en matière de santé

Depuis son ouverture en 2001, l’hôpital ophtalmologique Mohamed Ould Bouamatou de Nouakchott se consacre à redonner gratuitement la vue aux personnes souffrant de cécité en Afrique de l’Ouest. Après dix-huit ans d’existence, il est devenu l’établissement de référence pour soigner les infections de l’œil dont la cataracte et le trachome.

Plus de 5 000 opérations gratuites par an

Fondé et financé depuis son ouverture en juillet 2001 par l’homme d’affaires mauritanien dont il porte le nom, l’hôpital ophtalmologique Mohamed Ould Bouamatou est aujourd’hui un centre de santé de référence en Afrique de l’Ouest. Il a été créé pour répondre à la problématique des maladies oculaires, comme la cataracte et le trachome. Un défi de taille dans une région où le taux de cécité est le plus élevé au monde. Dans son pays, la Mauritanie, le taux de prévalence de la cécité s’élève même à 1,5% de la population (40.000 nouveaux cas chaque année) faute de traitements ophtalmologiques adaptés.

C’est pourquoi, l’hôpital se dédie entièrement aux populations nécessiteuses et ne demande donc aucune contrepartie financière pour ses services. Son équipe médicale effectue chaque année, plus de 5 000 opérations gratuites de la cataracte pour tous les patients ouest-africains. En 2015, la clinique avait aussi offert plus de 300 000 consultations ophtalmologiques et 350 000 interventions chirurgicales. Parallèlement, elle a distribué plus de 35 000 paires de lunettes et délivré plus 3 500 consultations pédiatriques. Ceci grâce aux partenariats avec des organisations comme l’International Trachoma Initiative (ITI) ou de l’International Agency for Prevention of Blindness (IAPB) et des entreprises françaises comme Optic 2000.

L’hôpital donne des formations gratuites en ophtalmologie

L’établissement distribue également tous les ans, depuis 2004, des médicaments aux populations indigentes. Objectif : lutter contre le trachome, maladie des yeux très répandue en Mauritanie. Il contribue en outre à la prévention de la cécité en Mauritanie, en sillonnant les régions du pays, même les plus reculées.

Equipé d’un matériel de pointe, qui n’existe nulle part en Afrique de l’Ouest, la clinique ophtalmologique jouit d’un personnel de qualité, formé pour l’essentiel en Europe. Ces spécialistes offrent à leur tour des formations aux médecins généralistes et infirmiers d’état nationaux et étrangers en ophtalmologue.

Jacques Chirac a visité l’hôpital de Mohamed Ould Bouamatou

Pour son travail remarquable, l’hôpital ophtalmologie de la Fondation Bouamatou a reçu la visite de plusieurs personnalités. Il s’agit notamment de Jaque Chirac, ancien Président français, de Dominique Strauss Khan, ancien directeur du Fond Monétaire International (FMI), de son Altesse royal Cheikha Mowza, épouse de l’Emir du Qatar, ou encore des premières dames du Mali et du Niger.

 

Sécurité, infrastructures, développement : le programme d’Aliou Diallo

L’entrepreneur Aliou Diallo, qui a rallié à sa candidature de nombreuses figures de la société civile, a présenté la semaine dernière un ambitieux programme, chiffré à 15’000 milliard de FCFA, pour remettre le Mali sur les rails de la paix et de la prospérité. L’objectif de ce véritable plan Marshall pour le Mali ? Associer approches sécuritaires et socio-économiques pour redonner espoir et renouer les liens entre les différentes communautés du pays.

C’est avec son « expérience d’entrepreneur au service du développement du Mali » qu’Aliou Diallo a bâti son programme présidentiel, qu’il a présenté le 17 juin devant plusieurs centaines de représentants de la société civile ralliés à sa candidature sous la bannière de la Plateforme « Ensemble pour le Renouveau du Mali » (ERE DU MALI).

« Les attentes de mes compatriotes sont au cœur de mon projet pour le Mali. Le retour de la paix, l’accès à l’eau potable, à l’électricité, à la santé, à l’éducation et le chômage des jeunes reviennent comme des problèmes récurrents », a résumé M. Diallo qui promet depuis le début de la campagne une rupture radicale avec les usages politiciens traditionnels et un coup de balai à l’égard de la classe politique dans son ensemble.

Aliou Diallo a défini trois priorités en cas de victoire à l’élection présidentielle, dont le premier tour se tiendra le 29 juillet : le retour de la paix, une politique de développement économique volontariste visant à réduire le chômage de masse et à faire émerger une classe moyenne, et une politique de grands travaux infrastructurels pour ancrer le Mali dans le XXIe siècle.

Un programme global et ambitieux qu’Aliou Diallo a chiffré. « Pour travailler efficacement sur ces trois fronts, il faudra investir au moins 15.000 milliards de FCFA sur une période de cinq ans », a-t-il assuré, en répétant être « convaincu que les causes profondes de la crise malienne sont avant tout économiques ».

« La pauvreté, la précarité et le manque de perspectives pour la jeunesse est le terreau le plus fertile à l’idéologie terroriste », a-t-il regretté avant d’ajouter que « c’est à ce niveau que se trouve ma réelle valeur ajoutée. En 30 ans de métier, j’ai investi plus de 250 milliards de FCFA dans mon pays, créant ainsi, au passage, quelques milliers d’emplois. En obtenant la confiance des maliens et à l’échelle nationale, nous pourrons faire beaucoup plus ».

Une rencontre au sommet

C’est la rencontre phare du mois d’avril. Emmanuel Macron, président de la République française, était attendu en début de semaine à Washington, afin de rencontrer le président américain Donald Trump.

Après une première rencontre en France le 14 juillet dernier, c’est au tour d’Emmanuel Macron se rendre aux Etats-Unis afin de rencontrer le président américain. De lundi à mercredi, le président français a enchainé les temps forts et les entretien dans le bureau Ovale de la Maison Blanche. Il était également attendu pour un discours devant le congrès américain.

Pour cette visite officielle, Emmanuel Macron n’est pas venu seul. En effet, sa épouse (et première dame) Brigitte Macron était également de la partie. Dans ses valises, le président de la République a également convié plusieurs ministres tels que Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires Étrangères, la ministre des Armées Florence Parly, ou encore Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie.

Au-delà de la bonne entente apparente entre les deux présidents, de lourds sujets tels que la situation en Syrie ou le nucléaire ont été abordés.

Dimanche dernier, le président français a de nouveau insisté sur l’importance d’être présent de manière durable en Syrie. « Si nous partons définitivement et complètement nous laisserons la place au régime iranien et à Bachar al-Assad, qui prépareront la prochaine guerre, alimenteront un nouveau terrorisme. Même après la fin de la guerre contre l’Etat Islamique (EI), les Etats-Unis, la France, nos alliés et même la Russie et la Turquie auront un rôle majeur à jouer pour créer cette nouvelle Syrie », avait-il souligné.

Cette rencontre, très attendue dans le monde politique, pourrait donner un nouvel élan.

 

 

Le cœur d’acier des Etats-Unis

Le 8 mars dernier, le controversé président des Etats-Unis Donald Trump, a confirmé sa volonté de mettre en place des droits à l’importation sur l’acier, à hauteur de 25%, et sur l’aluminium, à hauteur de 10%. 

Cette mesure, effective dès le 23 mars prochain, concernera tous les pays exportateurs, avec une exception pour le Canada et le Mexique, qui « pour le moment », ne sont pas concernés.

Une annonce qui sème une nouvelle fois la discorde entre les Etats-Unis et le reste du monde. Par exemple la commissaire au commerce, Cécilia Malström, a déclaré que « l’Union Européenne devrait être exemptée » de ces taxes douanières, déjà existantes sur certains de ces produits.

En France, c’est Bruno Lemaire, ministre de l’économie et des finances, qui s’est exprimé sur Twitter suite à l’annonce du département du commerce américain:

« Une guerre commerciale ne fera que des perdants. Avec nos partenaires européens, nous allons évaluer les conséquences sur nos industries et les réponses à apporter. »

Le Japon a également dénoncé cette décision, par la voix du ministre des affaires Taro Kano, qui a déclaré :

« Nous prendrons les mesures appropriées après avoir étudié avec attention les conséquences sur l’économie japonaise (…) La mesure pourrait avoir un impact grave sur les relations économiques entre les Etats-Unis et le Japon, qui sont alliés, et également sur l’économie mondiale.« 

Le ministre chinois des affaires étrangères s’est également exprimé, sans surprise, en allant dans le même sens : « Dans notre époque mondialisée, ceux qui recourent à la guerre commerciale choisissent le mauvais remède. Ils ne feront que pénaliser les autres, tout en se pénalisant eux-mêmes. »

Bien que l’entrée en vigueur de cette décision ait été annoncée pour le 23 mars prochain, le président Donald Trump a, en réalité, jusqu’au 11 et 20 avril pour maintenir ou non son choix d’imposer ces taxes.

 

 

 

 

 

 

 

Les investisseurs tunisiens au Maroc

Deux économie en plein boom, celle de la Tunisie et celle du Maroc, sont logiquement en train de raffermir leurs liens. C’est dans ce contexte que des investisseurs tunisiens se sont rendus à Rabat cette semaine.

Ainsi les 18 et 19 juin, se tenait à Rabat la 19° session de la commission mixte tuniso-marocaine.

A cet occasion, le chef du gouvernement tunisien, accompagné de nombreux investisseurs, Youssef Chahed a rendu une visite officielle à son homologue marocain, Saadeddine El Othmani.

L’objectif de ces rencontres était de conforter les liens économiques croissants entre ces deux pays qui connaissent parallèlement d’importantes croissances économiques et qui en profitent pour accélérer leurs développements.

Et on peut dire que cet objectif a été atteint, puisque pas moins de 13 accords de coopération ont été signés entre les deux pays.

Un vrai succès !

 

 

La Suisse ne veut plus de nucléaire

Les électeurs suisses ont voté pour la sortie progressive de leur pays du nucléaire, dimanche 21 mai.

Comme ils en ont l’habitude, les Suisses ont été invités à voter sur un sujet précis lors d’un référendum, dimanche 21 mai 2017.

Cette fois-ci, le référendum portait sur un projet de sortie, à moyen terme, du nucléaire, qui doit être remplacé peu à peu par des énergies renouvelables.

Les électeurs étaient invités à s’exprimer sur le projet de nouvelle stratégie énergétique, porté par leur président, Doris Leuthard. Le oui l’a donc remporté assez largement, avec 58,2 % des bulletins.

Ce projet ambitieux veut faire de la Suisse un pays particulièrement écologique, au niveau de l’énergie, donc, mais également des transports et du bâtiment.

Pour sortir du nucléaire progressivement, le pays des Alpes devrait lancer d’importants projets de production hydroélectriques.

 

2000 emplois américains pour Fiat Chrysler

Dimanche 8 janvier 2017, le groupe de construction automobile Fiat Chrysler a annoncé qu’il allait investir aux États-Unis et y créer 2000 emplois.

Le constructeur s’est ainsi engagé à investir un milliard de dollars lors des trois prochaines années, sur deux de ses sites de production, situés dans les états du Michigan et de l’Ohio.

Cet investissement permettra la création, sur ces deux usines, de 2000 nouveaux emplois, notamment destinés à l’assemblage de la nouvelle Jeep de luxe Wagoneer. Ces précisions ont été apportées par un communiqué du groupe, diffusé à l’occasion de l’ouverture du salon automobile de Detroit, qui a lieu aujourd’hui.

« (Le groupe) apporte une démonstration supplémentaire de son engagement à renforcer sa base manufacturière aux États-Unis », précise le communiqué, qui mentionne également la création de 25000 emplois aux États-Unis, depuis l’année 2009.

Cette décision intervient dans un contexte de bras de fer entre le futur président américain, Donald Trump et l’industrie automobile, sommée par le dirigeant politique de cesser ses délocalisations d’usines.

 

 

Black Friday : record pour Amazon

Le géant américain de la vente en ligne, Amazon, a enregistré des chiffres de ventes record, à l’occasion du Black Friday de cette année, qui avait lieu vendredi dernier (25 novembre).

Le Black Friday est devenue une tradition incontournable de la culture américaine. Chaque année, le lendemain du jeudi de Thanksgiving, journée de fête nationale qui célèbre l’accueille des colons par les amérindiens, se tient le Black Friday.

Le concept est simple : les magasins font ce jour là d’importantes ristournes et soldes, qui permettent aux américains de préparer leurs achats de Noël à moindre frais.

Ces journées sont connues pour être celles où les américains achètent le plus. Cette année, c’est en ligne qu’a eu lieu la révolution, avec les chiffres stratosphériques des ventes d’Amazon.

En effet, le site de vente en ligne a écoulé 1,4 millions de produits sur la seule journée du vendredi, ce qui représente 970 commandes à la minutes. Ces chiffres indiquent une progression de 40% par rapport à l’année dernière.

De quoi ravir les équipes d’Amazon, à l’image de Frédéric Duval, Country Manager chez Amazon.fr, qui a expliqué, sourire au lèvres, que «les clients nous ont montré une fois encore combien ils apprécient le Black Friday et l’opportunité qui leur est offerte de réaliser des économies substantielles pour leurs achats de Noël».

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