New York: Le Queens ne veut pas d’Amazon

Le siège d’Amazon dans le District du Queens, à New York, verra-t-il le jour ? Le géant américain du E-commerce bute, depuis plusieurs semaines, sur une vive opposition des habitants du Queens, qui craignent pour leur avenir.

Amazon dans le Queens ? Pas question !

Amazon veut bâtir son siège new-yorkais dans le district du Queens, au cœur d’une zone industrielle appelée « Long Island City ». Mais voilà, le groupe fait face à une vive opposition de la part des habitants du coin. Et ce ne sont pas les promesses de 25 000 emplois, de diversification de l’économie locale et de 27 milliards de dollars de revenus pour l’Etat de New York qui les feront changer d’avis. Les habitants du Queens disent connaître parfaitement ce genre de grosses entreprises. Elles viennent avec leurs petites valises et s’installent dans un petit local bien tranquille. Mais quelques mois plus tard on les voit débarquer avec une armée d’ingénieurs et d’informaticiens, à la tête de Martiens. Et vlan on commence à agrandir le coin pour en faire une Silicon Valley. Non, on ne joue pas à ce petit jeu-là avec eux, semblent dire les habitants du district du Queens. Ceux-ci craignent une explosion des prix de l’immobilier du fait de la construction de nouveaux logements pour abriter les employés d’Amazon ainsi que quelques autres opportunistes qui flairent toujours les bonnes affaires. Du coup, la vie deviendra chère plus avec ses nouveaux riches et les locaux, moins aisés, se retrouveront en marge de la société. Il se posera également le problème de transport avec l’afflux massif de travailleurs dans la zone. Les métros seront bondés, les bas quartiers surpeuplés, un terreau idéal à l’expression du banditisme et de la criminalité. Pour ces quelques raisons, les habitants du Queens refusent l’installation d’Amazon dans leur quartier et ils sont soutenus en cela par quelques élus.

Les politiciens y mettent leur grain de sel

Jusqu’ici, les élus de New York ne semblent pas du tout emballés par l’installation d’Amazon dans le Queens. « La question est de savoir si cela vaut la peine si les politiciens à New York ne veulent pas du projet, surtout quand on voit la chaleur de l’accueil en Virginie et à Nashville », a déclaré une source poche d’Amazon dans le Washington Post. De plus, le feu vert définitif des autorités pour valider l’implantation d’Amazon dans le Queens n’est pas attendu avant 2020. Un temps assez long quand on sait que les affaires n’attendent pas. Enfin, tout se complique pour Amazon après la nomination, au conseil d’Etat, du sénateur Michael Gianaris. Il est connu pour être un fervent opposant au projet. Il pourrait facilement mettre son veto à l’arrivée d’Amazon à Long Island City.

Face aux hostilités de plus en plus vives, Amazon commence à étudier d’autres sites. D’ailleurs les sites, il n’en manquerait pas puisque plusieurs villes auraient émis le souhait d’accueillir le géant américain du E-commerce.

 

L’Arabie Saoudite fait remonter les cours du brut

Craignant de se confronter à une crise de surabondance, le royaume a décidé de baisser sa production de pétrole. Il s’agit de contrebalancer la baisse de consommation de pétrole en Chine. Aucune position commune aux grands producteurs n’a été trouvé, l’Arabie Saoudite a pris l’initiative de baisser de 500.000 barils par jour sa production.

Le cours du pétrole a perdu un cinquième (20%) de sa valeur en un mois après avoir fortement monté pour atteindre son cours le plus haut depuis 2014 au début du mois d’octobre. Depuis le début de l’année, la pression de Washington et ses sanctions à l’encontre de Téhéran avait poussé le royaume a augmenté sa production jusqu’à 1 million de barils par jour. Mais les revirements de la politique américaine qui ont allégé ces sanctions ont fait craindre à une surproduction mondiale, le pétrole iranien revenant sur le marché pour plusieurs importateurs.

C’est le ministre saoudien de l’Energie Khaled al-Faleh qui a annoncé que son pays, le premier exportateur mondial de pétrole (qui pourrait être détrôné par les Etats-Unis dans les prochains mois), comptait réduire ses exportations de 500.000 barils par jour (bpj) en décembre. Ce choix se traduirait par une baisse d’environ 0,5% de l’offre pétrolière mondiale.

A l’issu d’une réunion de l’OPEP, le ministre a déclaré : « Je vais vous donner une information qui est que les prévisions de décembre sont inférieures de 500.000 barils à celles de novembre. Nous assistons à une modération qui est liée en partie à la fin de l’année, en partie à des opérations de maintenance, (…) donc nous livrerons moins en décembre que nous ne le faisons en novembre ».

Qui est Aliou Diallo, troisième homme de l’élection présidentielle malienne ?

Malgré une élection organisée sur mesure pour renouveler le mandat du Président sortant IBK, un candidat est parvenu à s’imposer par la force de ses convictions et l’ambition de son programme. Aliou Diallo est arrivé en troisième position de l’élection, avec le score flatteur de 8%.

Aliou Boubacar Diallo est un homme d’affaires originaire de la région de Nioro du Sahel, dans la région de Kayes. Il dirige notamment la seule mine d’or africaine entièrement possédée et exploitée par des fonds nationaux, Wassoul’Or. Il est aussi à la tête de l’unique unité de production d’électricité à base d’hydrogène naturel au monde à ce jour. Une technologie écologique et révolutionnaire qui pourrait faire du Mali un acteur majeur de l’équilibre énergétique mondial dans les prochaines décennies.

Ces compétences et cette vision dans le domaine des affaires ont conduit naturellement le chef d’entreprise à se pencher sur la vie politique de son pays miné par des problèmes d’islamisation, d’économie, de division et de gouvernance.

Fort de ces convictions et porté par une volonté d’acier d’unifier et de redresser son pays, il s’est présenté à l’élection présidentielle sous les couleurs de son parti politique, ADP-Maliba.

Menant une campagne de terrain saluée par les observateurs et les populations locales, il a peu à peu gagné la confiance du peuple malien, si bien que le Cherif de Nioro dignitaire religieux très influent, a soutenu sa candidature.

Face aux deux ancêtres de la politique malienne, qui ont verrouillé au maximum ce scrutin et face au désintérêt des maliens d’une élection jouée d’avance, peu pensaient que Diallo parviendrait à s’imposer comme le troisième homme de ce scrutin ; et de fait comme le leader de la troisième force politique malienne.

C’est surtout le score important de 8% d’Aliou Diallo qui est impressionnant dans ce contexte. Il lui incombe désormais la lourde responsabilité de confirmer son influence grandissante et de rendre aux Maliens la confiance qu’ils lui ont accordée.

 

Le mondial de tous les records

Alors que la grande finale de la coupe du monde approche à grands pas, les organisateurs russes n’ont pas lésiné sur les moyens. En effet, près de 10 milliards d’euros auront été investis pour organiser cet événement. 

Depuis le 14 juin dernier, les yeux du monde entier sont braqués sur la Russie. Le pays de Vladimir Poutine accueille avec beaucoup de fierté cette 21ème édition de la coupe du monde. Pour accueillir les équipes, faire vibrer les spectateurs et impressionner les milliards de passionnés à travers le monde, le Kremlin a mis les bouchés doubles : entre les stades à construire, les infrastructures à faire sortir de terre et les investissements financiers, le Mondial russe est d’ores et déjà le plus cher de l’histoire.

Connaissant la personnalité sulfureuse de Vladimir Poutine, il fallait s’y attendre : la Russie entre dans l’Histoire, non pas pour la compétition de laquelle elle a été éliminée, mais pour les dépenses engendrées par la coupe du monde.

Le budget du Mondial russe a beaucoup évolué au fil des ans. Initialement, il était établi à 661,5 milliards de roubles (neuf milliards d’euros). La crise économique est passée par là et en juin 2015, l’État a voté une réduction de 30 milliards. Finalement, en 2017, pour boucler le budget, le comité d’organisation a obtenu deux coups de pouce : 19 milliards en février puis 34,5 milliards en octobre. Résultat, un coût total de 678 milliards de roubles, soit 9,2 milliards d’euros.

Avec ce budget record, la Russie écrase le précédent [record] établi par le Brésil en 2014. La dernière Coupe du monde avait coûté huit milliards d’euros, dont 2,5 pour la construction et la rénovation des stades.

Le record russe ne tiendra toutefois que quatre ans. Le Qatar, pays organisateur de la Coupe du monde 2022, a engagé des dépenses faramineuses pour sa candidature. Le budget initial de 26,6 milliards d’euros du comité d’organisation a certes été raboté de 40 à 50% mais le coût reste monstrueux : la seule construction des stades représente entre 7,5 et 9,4 milliards d’euros.

Sécurité, infrastructures, développement : le programme d’Aliou Diallo

L’entrepreneur Aliou Diallo, qui a rallié à sa candidature de nombreuses figures de la société civile, a présenté la semaine dernière un ambitieux programme, chiffré à 15’000 milliard de FCFA, pour remettre le Mali sur les rails de la paix et de la prospérité. L’objectif de ce véritable plan Marshall pour le Mali ? Associer approches sécuritaires et socio-économiques pour redonner espoir et renouer les liens entre les différentes communautés du pays.

C’est avec son « expérience d’entrepreneur au service du développement du Mali » qu’Aliou Diallo a bâti son programme présidentiel, qu’il a présenté le 17 juin devant plusieurs centaines de représentants de la société civile ralliés à sa candidature sous la bannière de la Plateforme « Ensemble pour le Renouveau du Mali » (ERE DU MALI).

« Les attentes de mes compatriotes sont au cœur de mon projet pour le Mali. Le retour de la paix, l’accès à l’eau potable, à l’électricité, à la santé, à l’éducation et le chômage des jeunes reviennent comme des problèmes récurrents », a résumé M. Diallo qui promet depuis le début de la campagne une rupture radicale avec les usages politiciens traditionnels et un coup de balai à l’égard de la classe politique dans son ensemble.

Aliou Diallo a défini trois priorités en cas de victoire à l’élection présidentielle, dont le premier tour se tiendra le 29 juillet : le retour de la paix, une politique de développement économique volontariste visant à réduire le chômage de masse et à faire émerger une classe moyenne, et une politique de grands travaux infrastructurels pour ancrer le Mali dans le XXIe siècle.

Un programme global et ambitieux qu’Aliou Diallo a chiffré. « Pour travailler efficacement sur ces trois fronts, il faudra investir au moins 15.000 milliards de FCFA sur une période de cinq ans », a-t-il assuré, en répétant être « convaincu que les causes profondes de la crise malienne sont avant tout économiques ».

« La pauvreté, la précarité et le manque de perspectives pour la jeunesse est le terreau le plus fertile à l’idéologie terroriste », a-t-il regretté avant d’ajouter que « c’est à ce niveau que se trouve ma réelle valeur ajoutée. En 30 ans de métier, j’ai investi plus de 250 milliards de FCFA dans mon pays, créant ainsi, au passage, quelques milliers d’emplois. En obtenant la confiance des maliens et à l’échelle nationale, nous pourrons faire beaucoup plus ».

Arbitrage Cirdi : 40 millions d’euros réclamés à la Côte d’Ivoire

Le « café de Rome » établissement hôtelier bordant la lagune Ebrié au Plateau a été rasé par les pelleteuses en mars 2015 pour faire place au projet d’aménagement de la Baie de Cocody financé par l’Etat marocain.

Selon des informations de sources concordantes ce mercredi, la société « Resort Co Invest Abidjan (RCI-A) propriétaire de l’hôtel, a porté le litige qui l’oppose à l’Etat ivoirien devant le CIRDI, le tribunal arbitral qui dépend de la banque mondiale.

Lesdites informations révèlent que, les avocats de l’Etat ont contesté la compétence de cette juridiction mais n’ont pas été suivis. L’avocate de RCI-A, Danyèle Palazo-Gauthier, a obtenu gain de cause.

L’audience sur le fond de l’affaire devrait se tenir en 2019 et RCI-A réclamerait plus de 40 millions d’euros soit 26, 2 milliards de FCFA à l’Etat en guise de dommages et intérêts.

Par ailleurs, d’autres sources indiquent que, une autre affaire a été portée devant le Cirdi concernant toujours l’Etat ivoirien. Il s’agirait de la société américaine « Wise Solutions Rechercher Wise Solutions », pour rupture abusive de sa convention de gestion des déchets à Abidjan.

En 2015, les autorités ivoiriennes auraient annulé unilatéralement le contrat de 200 milliards de FCFA d’une durée de quinze ans qui le liait à ladite société pour non-respect du cahier des charges.

Un argument qui serait contesté par le patron de Wise Solutions, Alan Kenneth Wong et qui réclamerait 300 millions de dollars de dommages et intérêts.

Une rencontre au sommet

C’est la rencontre phare du mois d’avril. Emmanuel Macron, président de la République française, était attendu en début de semaine à Washington, afin de rencontrer le président américain Donald Trump.

Après une première rencontre en France le 14 juillet dernier, c’est au tour d’Emmanuel Macron se rendre aux Etats-Unis afin de rencontrer le président américain. De lundi à mercredi, le président français a enchainé les temps forts et les entretien dans le bureau Ovale de la Maison Blanche. Il était également attendu pour un discours devant le congrès américain.

Pour cette visite officielle, Emmanuel Macron n’est pas venu seul. En effet, sa épouse (et première dame) Brigitte Macron était également de la partie. Dans ses valises, le président de la République a également convié plusieurs ministres tels que Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires Étrangères, la ministre des Armées Florence Parly, ou encore Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie.

Au-delà de la bonne entente apparente entre les deux présidents, de lourds sujets tels que la situation en Syrie ou le nucléaire ont été abordés.

Dimanche dernier, le président français a de nouveau insisté sur l’importance d’être présent de manière durable en Syrie. « Si nous partons définitivement et complètement nous laisserons la place au régime iranien et à Bachar al-Assad, qui prépareront la prochaine guerre, alimenteront un nouveau terrorisme. Même après la fin de la guerre contre l’Etat Islamique (EI), les Etats-Unis, la France, nos alliés et même la Russie et la Turquie auront un rôle majeur à jouer pour créer cette nouvelle Syrie », avait-il souligné.

Cette rencontre, très attendue dans le monde politique, pourrait donner un nouvel élan.

 

 

Wassoul’Or : résultats encourageants un an après la reprise de la production

L’exploitant minier malien Wassoul’Or SA a publié mercredi ses résultats d’exportation douze mois après la reprise de l’exploitation de sa mine de Kodiéran. Avec une production de plus de 332 kilogrammes, stabilisée tout au long de l’année, les résultats sont encourageants alors que l’introduction de nouveaux procédés d’exploitation devrait fortement accroître la productivité de la mine dans les mois à venir.

Mise en suspens en raison de la situation sécuritaire au Mali, l’exploitation de la mine de Kodiéran a repris en avril 2017. Depuis cette date, Wassoul’Or SA a exploité et exporté 332,1250 kilos d’or durant les douze derniers mois.

La mine de Kodiéran, qui doit à terme produire six tonnes d’or par an, va se doter dans les mois à venir d’une unité de cyanuration en cuve (CIL), ce qui doit lui permettre d’accroître très fortement ses rendements en comparaison au procédé de traitement gravimétrique actuellement utilisé.

« Les équipements de l’usine de cyanuration ont été acquis et livrés », a indiqué la société dans son communiqué, avant de préciser qu’un contrat avait été signé « avec une société russe, GV Gold, en vue de superviser l’installation du volet de cyanuration, reprendre en main l’opération de l’usine et augmenter le taux de récupération de l’or pour atteindre 80% à 90% d’ici la fin d’année ».

Le groupe Wassoul’Or est l’un des principaux groupes miniers maliens. Fondé et dirigé par Aliou Boubacar Diallo, c’est la seule société minière du pays détenue majoritairement par des intérêts nationaux maliens. La mine d’or de Kodiéran, située à 300 kilomètres de Bamako, emploie 378 salariés.

Le cœur d’acier des Etats-Unis

Le 8 mars dernier, le controversé président des Etats-Unis Donald Trump, a confirmé sa volonté de mettre en place des droits à l’importation sur l’acier, à hauteur de 25%, et sur l’aluminium, à hauteur de 10%. 

Cette mesure, effective dès le 23 mars prochain, concernera tous les pays exportateurs, avec une exception pour le Canada et le Mexique, qui « pour le moment », ne sont pas concernés.

Une annonce qui sème une nouvelle fois la discorde entre les Etats-Unis et le reste du monde. Par exemple la commissaire au commerce, Cécilia Malström, a déclaré que « l’Union Européenne devrait être exemptée » de ces taxes douanières, déjà existantes sur certains de ces produits.

En France, c’est Bruno Lemaire, ministre de l’économie et des finances, qui s’est exprimé sur Twitter suite à l’annonce du département du commerce américain:

« Une guerre commerciale ne fera que des perdants. Avec nos partenaires européens, nous allons évaluer les conséquences sur nos industries et les réponses à apporter. »

Le Japon a également dénoncé cette décision, par la voix du ministre des affaires Taro Kano, qui a déclaré :

« Nous prendrons les mesures appropriées après avoir étudié avec attention les conséquences sur l’économie japonaise (…) La mesure pourrait avoir un impact grave sur les relations économiques entre les Etats-Unis et le Japon, qui sont alliés, et également sur l’économie mondiale.« 

Le ministre chinois des affaires étrangères s’est également exprimé, sans surprise, en allant dans le même sens : « Dans notre époque mondialisée, ceux qui recourent à la guerre commerciale choisissent le mauvais remède. Ils ne feront que pénaliser les autres, tout en se pénalisant eux-mêmes. »

Bien que l’entrée en vigueur de cette décision ait été annoncée pour le 23 mars prochain, le président Donald Trump a, en réalité, jusqu’au 11 et 20 avril pour maintenir ou non son choix d’imposer ces taxes.

 

 

 

 

 

 

 

Football : les chiffres du mercato

Les clubs de football européens bénéficient pendant le mois de janvier de l’autorisation de revoir leurs effectifs, en achetant d’autres joueurs. Cette année, les transactions ont battu des records.

Le premier gros transfert de ce mois de janvier aura aussi été le plus important au niveau de l’argent dépensée.

En effet, la stars des Reds de Liverpool, Coutinho, a rejoint le club espagnol mythique, le FC Barcelone, pour un montant de 120 millions d’euros, assortis de bonus &éventuels pouvant atteindre 40 millions d’euros.

Le deuxième plus gros transfert de l’hiver concerne un footballeur moins connu en France, qui évoluait jusque là dans l’humble club de Southampton et qui a été acheté par Liverpool pour 78,8 millions d’euros.

Le troisième membre de ce podium des transferts les plus chers de l’hiver est français. Il s’agit du jeune Aymeric Laporte, que Manchester City a arraché à l’Athletic Bilbao pour 65 millions d’euros.

Il s’agit de la période de transfert hivernale lors de laquelle le plus d’argent a été dépensée dans l’histoire du football.

 

 

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