Qu’est-ce que la révolution digitale ?

Souvent utilisée à tort et à travers, l’expression de révolution digitale est entrée dans le langage courant.

On parle généralement de révolution digitale pour exprimer le bouleversement global de notre société à la suite de l’avènement de l’internet.

Comme il y a eu la révolution industrielle, puis celle du pétrole, et celle  de l’informatique, l’apparition de l’usage du net à modifié en profondeur la manière de consommer, de produire, mais également de vivre.

On appelle révolution digitale, ou révolution numérique, les conséquences de ces changements.

Nos habitudes de vie ont été modifiées par l’apparition du net, tout comme la manière de gérer les entreprises et comme celles des consommateurs : c’est la révolution digitale.

Et encore, nous sommes seulement à l’aube de cette révolution qui devrait encore marquer plus en profondeur notre société…

Loi travail : l’Udes veut peser

L’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes) a fait savoir qu’elle comptait jouer un rôle majeur dans les discussions sur la prochaine loi travail.

Le projet de réforme du travail en France est porté par le président de la république, Emmanuel Macron, qui en a fait l’une de ses principales promesses de campagne avant d’être élu.

S’il a annoncé depuis le début que ce projet de loi ne passerait pas devant le parlement, afin de gagner du temps, et serait adopté par ordonnances, Emmanuel Macron s’est engagé à lancer une grande consultation sur le sujet auprès des principaux acteurs de l’économie nationale et des partenaires sociaux.

Ainsi, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a  commencé à recevoir ces représentants, lors de consultations.

La semaine dernière, elle recevait notamment les représentants de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes).

Cet organisme souhaite d’ailleurs être particulièrement écouté lors de ces consultations, comme l’a expliqué le président de l’Udes, Hugues Vidor, qui a évoqué le « rôle régulateur de la branche ».

 

Vers une pénurie de carburant ?

Faut-il s’attendre à une pénurie d’essence, en France, dans les prochaines semaines ? Cette éventualité est probable…

Depuis ce weekend, la menace d’une nouvelle pénurie de pétrole refait surface de plus en plus fortement.

Cette question vient de la gréve des conducteurs de matières dangereuses, lancée vendredi 26 mai, à la demande de la CGT.

Ces conducteurs transportent donc des « matières dangereuses », comme du carburant, du gaz, des produits chimiques… Ils demandent des meilleures conditions de travail.

Cette gréve persiste si bien que depuis aujourd’hui, mercredi 31 mai, l’inquiétude s’est amplifiée. En effet, depuis ce matin, plusieurs centaines de stations services ont exprimé leurs difficultés à s’approvisionner.

Si la situation perdure, une pénurie d’essence est donc à craindre dans les prochaines semaines…

 

 

Semaine de la Tunisie : l’économie en avant

La semaine de la Tunisie, organisée à Grenoble, a été l’occasion de redécouvrir l’importance du potentiel économique de la Tunisie.

On se souvient tous des images émouvantes de la révolution tunisienne. Ben Ali, le dictateur qui entassait une fortune géante dans son château, en compagnie de son épouse Leila Ben Ali, avait été chassé du pouvoir par le peuple tunisien révolté.

Depuis, la Tunisie se redresse peu à peu, à l’image de son économie.

Ainsi, à l’occasion de la semaine de la Tunisie, organisée du 11 au 13 mai 2017, à Grenoble, par l’association présidée par Taoufik Hasnaoui, « Unité Pour La Tunisie » (UPLT), un forum économique sera organisé, autour du thème  « L’attractivité et les défis du nouveau climat des affaires en Tunisie ».

C’est la troisième année consécutive que l’association organise cette semaine de la Tunisie, devenue un rendez-vous incontournable, grâce au succès du mouvement.

De nombreuse animations, notamment musicales seront également programmées.

 

 

Le RSI mis en cause

Le régime social des indépendants (RSI) est au cœur de la campagne présidentielle, où de nombreux candidats ont dénoncé les dérives de cet organisme.

De l’extrême droite, à l’extrême gauche, en passant par le centre, le RSI semble devenu une cible privilégiée pour les politiques.

Ainsi, Jean-Luc Mélenchon, Marine Le Pen et Emmanuel Macron proposent tous les trois de supprimer purement le RSI.

Ce qui est reproché à cet organisme, outre les nombreuses défaillances, est son intransigeance envers ses cotisant, malgré les erreurs multiples.

Souvent comparé au Château de Kafka, le RSI est craint par les entrepreneurs, qui préfèrent désormais payer un peu plus cher en SAS, plutôt qu’avoir à faire à un organisme incompréhensible, intolérant et dangereux.

Les exemples de travailleurs qui ont reçu des factures énormes et injustifiées du RSI, sans aucune possibilité de discussion, sont très nombreux.

Entre des courriers contradictoires, des appels indus à cotisation, des retards de prestations, des conseillers injoignables… le RSI est un échec.

Même l’inspection générale des affaires sociales et la Cour des comptes ont dénoncé le fonctionnement de ce régime, qui a déjà mis des milliers d’entrepreneurs dans la rue.

Entrée en application de la baisse des impôts

La baisse d’impôts de 20% pour une partie des français va être concrétisée aujourd’hui, lundi 16 janvier, pour les ménages concernés qui ont recours au prélèvement mensualisé.

Cette baisse des impôts de 20% concerne les célibataires qui ne gagnent pas plus de 18500 euros par an et les couples dont le revenu fiscal est inférieur à 37000 euros annuels.

Cette réduction d’impôts a été votée avec la loi de finances 2017. Le gouvernement a fait part de sa fierté d’avoir mis en place cette évolution.

En effet, dans un communiqué publié lundi 16 janvier, le ministère des Finances de Bercy a expliqué que cette baisse significative allait permettre de «de rendre aux Français une partie des efforts fournis pour la remise en ordre de nos finances publiques».

Le gouvernement avait pesé de tout son poids pour que cette mesure soit effective en janvier et non fin aout, comme prévu, afin que les Français puissent en bénéficier avant les élections présidentielles.

Cette décision «portera à 6 milliards le montant total des baisses d’impôt sur le revenu décidées par le gouvernement», précise le communiqué de Bercy.

Viande : nouveau coup dur pour les abattoirs

La filière viande vient de prendre un nouveau coup de massue sur la tête par les associations végétariennes, avec la diffusion par l’organisation de protection des animaux, L214, d’une vidéo montrant la pratique de l’abatage des vaches en gestation

Âmes sensibles, s’abstenir…. En effet, les images divulguées par L214 sont particulièrement répugnantes. On y voit les employés d’un abattoir de Limoges, en Haute-Vienne, en train de « s’occuper » de vaches gestantes.

Ils leurs tranchent l’utérus au couteau puis se débarrassent des fétus dans des grands bacs en plastique. Parfois les fétus sont à un stade particulièrement avancé, comme le décrit l’employé qui a pris ces images en caméra cachée :

«On jette le veau dans une poubelle pleine de merde. Parfois, il bouge, comme s’il était vivant. On fait ça tous les jours, au moins cinquante fois par semaine. Comment on peut les tuer, nom de Dieu ? Des vaches pleines et des veaux qui sont en train de sortir».

Ce témoin est un ouvrier espagnol du nom de Mauricio Garcia-Pereira. Il a voulu dénoncé ses conditions de travail qui le rendent malade et a filmé cette vidéo afin d’informer le plus grand nombre sur ces cas d’abatage de vaches gestantes.

Sarkozy veut baisser les impôts

L’ancien président de la république, aujourd’hui candidat aux primaires Les Républicains, Nicolas Sarkozy, a accordé un entretien au Figaro, dans lequel il s’est engagé à réduire les impôts en cas de réélection à la fonction suprême.

Cette entrevue, accordée aux journalistes du Figaro, a été publiée dans le quotidien, lundi 3 octobre. Nicolas Sarkozy commence par s’engager à faire passer le budget de la France sous la barre des 3% de déficit dès l’année 2019, puis à retrouver l’équilibre budgétaire pour l’année 2022.

Il précise qu’une fois qu’il aura mis en place une série de mesures visant à réduire les déficit et les impôts, il pourra négocier dans de meilleurs conditions avec nos partenaires européens.

« La négociation avec Bruxelles et nos partenaires européens sera le passage obligé pour tout nouveau gouvernement en 2017 », explique-t-il ainsi, avant de préciser :

« J’irai leur parler après avoir déposé en Conseil des ministres en juin 2017 les mesures qui permettront d’atteindre 100 milliards d’euros d’économies en cinq ans, et les 40 milliards d’euros de baisses d’impôts. Après, pas avant ».

L’homme politique souhaite aller très vite dans la mise en place des réformes, comme il l’a également décrit :

« À partir du moment où toutes les mesures d’économies auront été votées sous trois mois, et qu’elles s’accompagneront simultanément d’une baisse des impôts et d’une réforme du marché du travail qui répondront totalement au blocage français en matière de croissance, nous n’aurons aucune difficulté à ce que [les partenaires européens] acceptent que nous repassions sous la barre des 3% en 2019, pour renouer avec l’équilibre à la fin du quinquennat ».

Enfin, Nicolas Sarkozy n’a pas hésité à lancer une petite pique à François Hollande. « C’est la réalité des comptes que nous laissera François Hollande », s’est il inquiété…

 

Crédit photo : RomainSeaf, Flickr (Creative Common)

Forte mobilisation à Belfort

La ville de Belfort va connaitre aujourd’hui une importante mobilisation, en réaction à la décision du groupe Alstom de fermer son unité de production locale.

L’annonce par les portes parole du géant Alstom du projet de fermer l’usine de Belfort, a été vécue comme un lourd traumatisme par tous les salariés du site, par les habitants de la région et même au niveau national, par les Français qui connaissent trop bien ce phénomène de désindustrialisation et ses conséquences désastreuses.

Ainsi, si l’usine Alstom de Belfort devait fermer ses portes, cela créerait une réaction en chaine qui finirait par tuer le tissu économique local. Avec plusieurs milliers d’emplois directs et indirects menacés, se sont de trop nombreux foyers qui se verraient privés de ressources.

Pour cette raison, la ville de Belfort et le conseil départementale de Franche Comté ont décidé d’organiser une journée de mobilisation « ville morte ». A cette occasion, 10.000 autocollants de soutien aux employés d’Alstom ont été distribués.

Les transports seront gratuits toute la journée et une grande manifestation est organisée. Elle partira à 14h, de la Maison du Peuple.

JO : un coût exorbitant

Si les Jeux Olympiques de 2024 étaient organisés à Paris, cela couterait 145 millions d’euros à la ville de Paris et un milliard à l’état français.

Selon les informations du Parisien, le conseil de Paris devait s’engager lundi 19 septembre, à investir un total de 145 millions d’euros, si les Jeux Olympiques de 2024 devaient être organisés dans la ville Lumière.

De plus, l’État français devrait participer de manière plus conséquente, avec l’injection d’un milliard d’euros.

Du coté des dirigeants politiques, on essaye de rassurer la population concernant ces investissement colossaux. Ainsi, l’adjoint chargé des sports, Jean-François Martins, promet que «les JO ne feront pas augmenter les impôts des Parisiens».

Un tarif excessif qui pousse de plus en plus de franciliens à s’interroger sur la viabilité économique de recevoir les JO. Surtout après les exemples de Londres et Rio qui ont vu plus de pertes que de profit dans l’opération…

 

1 6 7 8 9 10 13