Chômage en France : Décryptage de la fausse baisse du premier trimestre

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Le taux de chômage aurait-il pu réellement baisser pendant la période de confinement ? En effet, contre toute attente, selon les chiffres du Bureau International du Travail (BIT), le chômage en France aurait reculé de 0,3 points de pourcentage au cours du premier trimestre, portant le total à 7,8% de chômeurs dans la population active. Cependant, l’Institut National de la Statistique et des Études économiques (INSEE) explique que ce chiffre est loin de représenter la réalité…

Une fausse baisse du chômage en France

Comme l’explique l’Insee, cette baisse du taux de chômage dans le pays n’est qu’un trompe l’œil. En effet, selon l’organisme de statistique français, cette baisse s’explique résulte « d’un fort recul du nombre de personnes sans emploi se déclarant disponibles ou en recherche active d’emploi pendant la période de confinement« . Autrement dit, moins de personnes étaient activement en recherche d’emploi pendant le confinement, ce qui a eu pour effet de faire « baisser » le taux de chômage.

« Au total, le chômage au sens du BIT est donc plus faible pendant cette période de confinement, sans que cela ne traduise une amélioration du marché du travail« , a poursuivi l’Insee qui insiste sur la fausse réalité que représentent ces chiffres.

Selon les estimations, en prenant en compte le trend des premières semaines de l’année, le taux de chômage aurait dû rester stable, aux alentours de 8,2%.

Cependant, en réalité le chômage a progressé à cause de l »épidémie de coronavirus. Cependant, la catastrophe semble avoir été évitée avec le plan de chômage partiel mis en place par le gouvernement, qui aurait permis de sauver de nombreux emplois plutôt que de licencier.

Enfin, il faut tout de même s’attendre à voir venir de graves répercussions économiques. En effet, comme le prédisait Phillippe Waechter, un chef économiste chez Asset Management, « le choc sera persistant et le retour à l’emploi sera très long à se dessiner« … Des prévisions déjà peu optimistes, dans un présent où le monde est encore loin d’en avoir fini avec le coronavirus…

Un déficit moins profond que prévu

Mardi 6 septembre, l‘Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) a rendu ses chiffres publics, concernant le déficit de la France, qui a été moins important que prévu en 2015.

En 2015, le déficit public de la France a donc été de 3,5% du PIB, alors que selon les estimations de l’organisme, effectuées au mois de mars, ce déficit aurait du atteindre 3,6%.

Une bonne nouvelle toute relative pour les équipes gouvernementales, alors que François Hollande s’était engagé lors de l’élection présidentielle à abaisser ce déficit à 3%, dès l’année 2013.

Une promesse après laquelle il court toujours…

 

 

 

Pas de croissance au deuxième trimestre

La France n’aura pas connu la croissance tant attendue au deuxième trimestre 2016…

L’Insee a publié ses derniers chiffres sur la croissance française, qui ne sont pas positifs, puisque le PIB s’est stabilisé et n’a pas connu de nouvelle progression tant attendue.

En effet, le gouvernement tablait sur une hausse de la croissance française de 0,3% sur cette période.

La croissance de la France n’a donc pas bougé au deuxième trimestre, quand celles de l’Allemagne et de l’Angleterre progressaient respectivement de 0,4% et de 0,6%.

 

 

Le chômage passe sous les 10 %

Selon les derniers chiffres sur l’emploi en France, le chômage est descendu sous la barre fatidique des 10 %.

L’Insee, dont les chiffres sont réputés plus fiables que ceux de Pole Emploi, a rendu publics ses résultats pour le second trimestre 2016.

Avec 9,9% de chômeurs en France métropolitaine, le taux de chômage est au plus bas depuis la fin de l’année 2012.

Des bons résultats aux conséquences politiques ? C’est ce que pense le site américain Bloomberg, pour qui « cela peut permettre à François Hollande de tenir sa promesse avant les prochaines élections ».

 

Crédit photo : Global Panorama, Flickr (Creative Common)

Moins d’entreprises crées en juin

Selon les derniers chiffres publiés par l’Insee, le nombre d’entreprises crées au moi de juin 2016, en France, a diminué.

L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié aujourd’hui les chiffres concernant les créations d’entreprises françaises en juin.

Après deux mois consécutifs de hausses de créations d’entreprises, le mois de juin est marqué par une chute de 1,3%.

« Le repli des immatriculations de micro-entrepreneurs (-3,9%), n’est pas compensé par la hausse des créations d’entreprises classiques (+0,6%) », a précisé l’organisme dans un communiqué.

La Bretagne vidée de ses bars

Selon une étude réalisée par le quotidien régional Le Télégramme, la Bretagne a perdu la moitié de ses bars en seulement 30 ans.

Comment expliquer une si soudaine chute du nombre de débits de boisson dans la région des crêpes et du cidre ?

C’est la question posée par le titre de PQR (presse quotidienne régionale) Le Télégramme, après avoir décrypté les chiffres de l’Insee et découvert une chute de moitié du nombre de bars bretons.

En 2014, la Bretagne disposait donc de 3500 bars, alors que 30 ans plus tôt, elle en comptait 7000.

La croissance française meilleure que prévue

Selon la note de conjoncture publiée jeudi 16 juin par l’Insee, la croissance française devrait augmenter de 1,6% en 2016.

Cette progression de 1,6% est encore meilleure que ce qui avait été prévu par le gouvernement dans ses estimations, qui évaluaient la croissance de 2016 à 1,5%.

Cette bonne nouvelle pour l’économie nationale s’explique principalement par la reprise des investissements des entreprises

En 2015, la croissance française était de 1,2%.

La croissance repart

Les chiffres sur la croissance de la France connaissent un rebond encore meilleur que ce que les économistes avaient prévu.

François Hollande ne cesse d’affirmer depuis quelques jours que « ça va mieux ». Les derniers chiffres semblent lui donner raison.

Ainsi, selon la première estimation sur la croissance française au premier trimestre 2016, publiée le 29 avril par l’Insee, le PIB aurait augmenté de 0,5 % sur cette période, après avoir progressé de 0,3 % au quatrième trimestre 2015.

Une croissance encore plus soutenue que les 0,4% sur lesquels comptaient l’Insee ou la Banque de France.

 

Consommation des ménages : légère hausse

Selon les chiffres publiés par l’Insee, les dépenses de consommation des ménages français en biens ont connu une légère hausse en février.

L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié, jeudi 31 mars 2016, un communiqué où il annonce une légère hausse de 0,6% de la consommation des ménages en février, après celle de 1% enregistrée pour le mois de janvier.

Il s’agit du plus haut niveau de dépenses de consommation depuis le début de l’année 2011.

Cette hausse s’explique essentiellement par le rebond d’achats alimentaires et de dépenses en biens d’équipement de logements.

 

Le déficit diminue mais la dette augmente

Selon les derniers chiffres de l’Insee, publiés vendredi 25 mars 2016, le déficit de la France connait un léger recul, mais la dette nationale continue à enfler.

L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) nous apprend donc que la France a connu, en 2015, une baisse du déficit ramené à 3,5% du produit intérieur brut (PIB), ce qui correspond à 0,3 point de moins que ce qui avait été prévu.

Cependant, l’étude de l’Insee montre que la dette continue, quant à elle, de progresser, atteignant fin 2015 95,7%, soit 2.097 milliards d’euros, contre 95% du PIB fin 2014.

Le ministre de l’Économie, Michel Sapin, s’est félicité de ces résultats mitigés dans un communiqué, où il a déclaré : « C’est notre sérieux budgétaire qui nous a permis d’atteindre ces bons résultats ».

 

 

 

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