Grève peu suivie chez Pôle Emploi

Alors que plusieurs syndicats ont appelé à la grève, lundi 6 mars, les salariés de Pôle Emploi ont seulement été 13,36% à suivre le mouvement.

Quatre organisations syndicales, SNU-FSU, CGT, FO et SUD, ont appelé les salariés de Pôle Emploi à faire grève, lundi 6 mars, pour lutter contre «une volonté du “tout internet”» dans la direction de l’organisme public chargé de lutter contre le chômage et d’indemniser les chômeurs.

Ce lundi, la direction a annoncé de faibles chiffres de participation, à la mi journée, avec un taux de salariés grévistes estimé à 13,36%.

Seulement quatre agences ont du fermer leurs portes à cause de cette grève dans toute la France, sur les 850 que compte le réseau national, ont précisé les porte-paroles de Pôle Emploi dans un communiqué.

Près de 200 employés de Pôle Emploi, selon l’AFP, ont participé à une manifestation qui partait de la place Gambetta, à Paris, dès 10h du matin.

Une vingtaine d’autres manifestations ont eu lieu dans différentes villes de l’Hexagone, dont Niort, rennes, ou Toulouse.

 

1500 emplois français pour Amazon

Le géant américain de la livraison à domicile, Amazon, a annoncé qu’il allait créer 1500 emplois en France, cette année.

Les représentants français de la multinationale ont publié un communiqué, lundi 20 février, pour annoncer ces embauches massives.

Ces 1500 postes en CDI concerne des postes d’ingénieurs, mais également de personnes non qualifiées. Ils seront recrutés essentiellement en Somme et en Ile-de-France.

Selon  le directeur des opérations France d’Amazon, Ronan Bolé, « Les recrutements (…) ont d’ores et déjà démarré ».

Amazon dispose déjà de 4000 salariés en France. Son objectif est de créer « 1500 emplois en CDI supplémentaires d’ici la fin de l’année 2017 », selon le communiqué.

On ne sais pas si la polémique concernant la fiscalité d’Amazon est liée à cette décision…

 

2000 emplois américains pour Fiat Chrysler

Dimanche 8 janvier 2017, le groupe de construction automobile Fiat Chrysler a annoncé qu’il allait investir aux États-Unis et y créer 2000 emplois.

Le constructeur s’est ainsi engagé à investir un milliard de dollars lors des trois prochaines années, sur deux de ses sites de production, situés dans les états du Michigan et de l’Ohio.

Cet investissement permettra la création, sur ces deux usines, de 2000 nouveaux emplois, notamment destinés à l’assemblage de la nouvelle Jeep de luxe Wagoneer. Ces précisions ont été apportées par un communiqué du groupe, diffusé à l’occasion de l’ouverture du salon automobile de Detroit, qui a lieu aujourd’hui.

« (Le groupe) apporte une démonstration supplémentaire de son engagement à renforcer sa base manufacturière aux États-Unis », précise le communiqué, qui mentionne également la création de 25000 emplois aux États-Unis, depuis l’année 2009.

Cette décision intervient dans un contexte de bras de fer entre le futur président américain, Donald Trump et l’industrie automobile, sommée par le dirigeant politique de cesser ses délocalisations d’usines.

 

 

Vente record de sous-marins

La France a réalisé une vente monumentale de 12 sous-marins d’attaque à la marine australienne.

L’Australie et la France ont signé un contrat historique, mardi 20 décembre qui porte sur la vente par la France de 12 sous-marins de guerre.

Ce contrat passé entre les ministères de la Défense des deux pays alliés est le « plus gros contrat de défense de l’histoire australienne », a précisé la ministre australienne, Marise Payne.

Les négociations ont également porté sur les lieux de construction de ces sous-marins, avec comme enjeu implicite, celui de l’emploi.

En effet, une partie de la construction sera réalisée sur le sol australien, créant ainsi 2800 emplois en Australie.

De son côté, la société qui construit ces sous-marins et qui est détenue à 62% par l’État français, DCNS, aura besoin de 4 millions d’heures de travail sur le territoire français. De quoi créer entre 3000 et 4000 emplois pérennes. Une bonne nouvelle pour l’économie nationale…

Ce contrat représente un montant total de 34 milliards d’euros, consacrés au design, à la fabrication, à la maintenance et à la formation du personnel.

 

Pas de croissance au deuxième trimestre

La France n’aura pas connu la croissance tant attendue au deuxième trimestre 2016…

L’Insee a publié ses derniers chiffres sur la croissance française, qui ne sont pas positifs, puisque le PIB s’est stabilisé et n’a pas connu de nouvelle progression tant attendue.

En effet, le gouvernement tablait sur une hausse de la croissance française de 0,3% sur cette période.

La croissance de la France n’a donc pas bougé au deuxième trimestre, quand celles de l’Allemagne et de l’Angleterre progressaient respectivement de 0,4% et de 0,6%.

 

 

Le chômage passe sous les 10 %

Selon les derniers chiffres sur l’emploi en France, le chômage est descendu sous la barre fatidique des 10 %.

L’Insee, dont les chiffres sont réputés plus fiables que ceux de Pole Emploi, a rendu publics ses résultats pour le second trimestre 2016.

Avec 9,9% de chômeurs en France métropolitaine, le taux de chômage est au plus bas depuis la fin de l’année 2012.

Des bons résultats aux conséquences politiques ? C’est ce que pense le site américain Bloomberg, pour qui « cela peut permettre à François Hollande de tenir sa promesse avant les prochaines élections ».

 

Crédit photo : Global Panorama, Flickr (Creative Common)

Moins d’entreprises crées en juin

Selon les derniers chiffres publiés par l’Insee, le nombre d’entreprises crées au moi de juin 2016, en France, a diminué.

L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a publié aujourd’hui les chiffres concernant les créations d’entreprises françaises en juin.

Après deux mois consécutifs de hausses de créations d’entreprises, le mois de juin est marqué par une chute de 1,3%.

« Le repli des immatriculations de micro-entrepreneurs (-3,9%), n’est pas compensé par la hausse des créations d’entreprises classiques (+0,6%) », a précisé l’organisme dans un communiqué.

Augmentation des créations d’emplois aux États-Unis

Les créations d’emplois aux États-Unis ont connu une hausse inattendue, avec 242.000 créations d’emplois sur le mois de février 2016.

Alors que les économistes tablaient plutôt sur une création de 190.000 postes, les chiffres du mois dernier sont particulièrement positifs pour la première puissance économique mondiale.

Pour autant, les chiffres du chômage sont restés stables, autour de 4,9%, car il y a eu plus de nouveaux entrant sur le marché du travail, ce qui est également un signe de dynamisme économique.

Ces chiffres ont été publiés par le ministère américain du travail le 4 mars.

 

Des licenciements économiques facilités ?

Le gouvernement hésiterait à faciliter les licenciements économiques dans son projet de loi sur la modification du droit du travail.

Cette information a été révélée par les Échos selon lesquels l’arbitrage final n’aurait pas encore eu lieu.

Dans le cadre du projet de modification du droit du travail qui sera présenté par la nouvelle ministre du travail, Myriam El Khomri, cette mesure ultra controversée à gauche serait en débat au sein du gouvernement.

L’objectif de ce projet de loi serait de mieux définir les causes admises pour effectuer un licenciement économique. L’objectif étant d’inciter les entreprises à embaucher en CDI.

 

 

Renault : 1000 nouveaux CDI en 2016

Le groupe automobile français Renault a dévoilé ses résultats de l’année 2015 le 12 février. Ravi de ces bons chiffres, son PDG s’est engagé à créer cette année 1000 nouveaux CDI en France.

Sur l’exercice 2015, Renault connait donc une hausse de son résultat net de 48,1%, avec 2,96 milliards d’euros.

Ces bons résultats s’expliquent notamment par le succès de la société Nissan, obtenue à 43,4% par Renault et par laquelle le groupe à reçue une contribution de 1,97 milliard d’euros ne 2015.

Carlos Ghosn, le PDG de Renault a déclaré que le groupe allait embaucher 1000 nouveaux salariés en CDI, afin de « soutenir la croissance ».

 

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