Le tri de courrier existe encore dans l’entreprise

Contrairement aux idées reçues, l’heure du tout numérique n’a pas sonné dans toutes les entreprises. Pour de très nombreuses entreprises, il est encore nécessaire de passer par l’intermédiaire des courriers papiers. Beaucoup de documents doivent être en effet signés sur les exemplaires originaux.

Dans les structures qui ne tournent pas à 100% aux e-mails, le tri du courrier, sa répartition, son classement sont autant d’étapes qui peuvent entraîner une perte de temps ou de documents. Et plus les entreprises sont importantes, plus la masse de courrier peut être très imposante faisant accroitre les possibilités de défaillance des process internes. De nombreuses solutions existent pour améliorer votre processus de tri du courrier, que ce soit par la mise en place d’un système de répartition par couleur ou par numérotation.

Parmi toutes les solutions innovantes présentes sur le marché, c’est l’entreprise Isitec International qui semble s’imposer dans le secteur du tri du courrier. Isitec n’en est pas à son coup d’essai en la matière. L’entreprise spécialisée dans l’appropriation technologique de ses clients et partenaires propose depuis 2010  une solution sous le nom d’Isivoice Tri. Isivoice Tri est un logiciel d’assistance vocale de gestion logistique d’un entrepôt mais également de courrier basé sur un système de picking vocal. Les salariés sont équipés d’un casque audio relié à une tablette qui leur procure les informations nécessaires à leurs tâches. Le logiciel permet de réduire les temps de latence et de faire disparaitre les étapes inutiles.

Que ce soit pour l’entrée du courrier dans les grandes entreprises ou avant une redistribution externe dans les entreprises spécialisées dans le postal, la mise à jour du logiciel se fait rapidement à partir des datas clients ou internes.

Autre bon point de l’offre, Isitec propose également une solution Isivoice Tri prolongée avec un mobilier de tri connecté. L’offre consiste à un ensemble de LED fixé à un meuble casier qui clignote en fonction des informations lues par le salarié dans son micro. Le tri devient ainsi précis et rapide sans nécessiter de nouveaux efforts.

Téléphonie mobile : une panne affecte les opérateurs

Ce lundi matin, une panne de grande ampleur a perturbé tous les opérateurs français. Le problème technique touchait aussi bien la téléphonie mobile, fixe et parfois Internet, qui continue de passer par le réseau téléphonique. 

Dès qu’il y a un problème du moindre acabit, le réseau social Twitter devient le bureau des plaintes. Ce lundi matin, cela n’a pas dérogé à la règle. Des centaines d’internautes se sont plaints auprès de leurs opérateurs respectifs car ils étaient dans l’impossibilité de joindre leurs interlocuteurs, d’envoyer des SMS et d’accéder à Internet.

Downdetector, qui scrute en temps réel le moindre problème sur les différents réseaux, a enregistré un pic d’incidents chez les clients Orange. Centralisée initialement chez Orange, la panne s’est vite répandue à tous les autres opérateurs français par « ricochets ».

« Un incident majeur identifié chez Orange au niveau national impacte en ce moment tous les opérateurs. Les équipes d’AERA Télécom sont sur le pont et en alerte pour réduire l’impact de cette panne nationale Orange », a expliqué AÉRA Télécom, Opérateur Télécom des Entreprises en France.

Pour l’heure, le leader de la téléphonie mobile ne s’est toujours pas exprimé sur cette panne de grande ampleur. Concours de circonstances, Orange a lancé, le matin même, le hasthag #SansMonTelephone.

Les clients n’ont que moyennement ri, et n’ont pas hésité à utiliser ce hasthag contre Orange.

 

Une erreur chez Samsung… et des employés multimillionnaires !

Pas sur que cette (grosse) erreur ait plus à tout le monde. La semaine dernière, le comptable en charge des salaires chez Samsung Securities, (ndlr : filiale finance du géant sud-coréen) a fait une faute de frappe a plus de 85 milliards d’euros.

Vendredi 6 avril, Samsung Securities devait verser une prime de 1 000 wons à ses employés, soit l’équivalent de 78 centimes. Mais le trader qui s’en occupait a commis une erreur en envoyant 1 000 nouvelles actions à chaque personne de l’entreprise, soit 2000 salariés. Une erreur qui coûte cher au groupe, puisqu’elle s’élève à 85 milliards d’euros !

En quelques minutes seulement, ces employés chanceux sont donc devenus millionnaires. S’il a suffit d’une poignée de minutes pour remplir leurs comptes, les responsables du groupe ont eux mis plus de 35 minutes avant de se rendre compte de la bourde, et de récupérer les titres. Petit problème pour Samsung : 16 salariés se sont empressés de revendre les actions afin d’empocher la coquette somme de 9,3 millions d’euros chacun.

Dans la foulée, le FSS, régulateur financier coréen, a mandaté huit experts pour mener une enquête qui doit permettre de comprendre comment une telle erreur a pu se produire. Selon la presse coréenne, ils souhaitent vérifier le système informatique et le logiciel comptable utilisé par le trader, en charge des opérations financières. Le FSS compte également interroger les 16 salariés s’étant empressés de revendre les actions.

Au-delà de ces conséquences pour la filiale Samsung Securities, cette erreur de frappe a d’autres conséquences. Son titre a chuté de 12%, et le marché a des doutes sur sa fiabilité.

« Cette affaire a révélé un problème sérieux dans les systèmes internes qui ne peut être considéré comme une erreur d’un individu », a déclaré le gouverneur de la Banque centrale, en ajoutant qu’il « a fallu 37 minutes entre l’émission de dividendes, et la suspension de négociation, ce qui signifie qu’il n’y avait aucun filet de sécurité ».

 

 

 

Airbus sauvé par Emirates

Emirates va acheter 36 Airbus A380 au géant français de l’aéronautique. Une bouffée d’air fraîche, pour un groupe pris à la gorge.

Alors que les finances d’Airbus sont au plus mal depuis quelques années, le constructeur d’avion français risquait gros en négociant ces contrats avec la compagnie aérienne du Golfe.

En effet, sans une commande très importante, le groupe allait devoir renoncer à son principal programme et vraisemblablement sombrer peu à peu.

Il n’en sera rien, puisque la vente a bien été finalisée et que Emirates a commandé ces 36 A380, pour un montant total de 16 milliards d’euros.

Une somme faramineuse, qui va permettre au groupe de Blagnac de pérenniser son dernier programme phare d’investissement R&D.

Avec cette nouvelle commande, la compagnie des émirats se place définitivement comme le meilleur client d’Airbus. En comptabilisant cette nouvelle commande, cela fera 178 appareils en tout achetés à Airbus par Emirates.

Selon les porte-paroles de la compagnie, qui ont annoncé cette information sur le compte Twitter d’Emirates, cette transaction « souligne notre confiance dans le programme A380« .

 

Google veut déréférencer des sites russes

Le géant américain Google a fait savoir qu’il allait mettre en place des mesures visant à diminuer la visibilité sur le moteur de recherche de certains sites russes.

A l’occasion d’une conférence sur le thème de la sécurité, qui se tenait dans la ville d’Halifax, au Canada, le dirigeant de la maison mère de Google, Alphabet, Eric Schmidt, a répondu à une question sur le sujet.

Interrogé sur la part prise par la désinformation lors de l’élection de Donald Trump et en particulier du rôle de la Russie dans cette opération, le dirigeant a expliqué que « nous travaillons à détecter ce type de scénarios et à déclasser ce genre de sites ».

Et monsieur Schmidt de préciser les noms de deux sites particulièrement influents et dirigés par Moscou , la chaîne de télévision RT et l’agence de presse Sputnik :

« Il s’agit de RT et Sputnik. Nous sommes au courant et nous essayons de créer les systèmes qui pourront empêcher cela », a-t-il déclaré.

Il ne s’agit pas d’une prise de position officielle, mais cette information pourrait être lourde de conséquences…

 

Michael Reza Pacha pour un environnement au service du social

Une mesure de protection de l’environnement, qui permettrait à la fois de développer la solidarité envers les populations locales ? C’est le projet ambitieux initié en Afrique par l’entrepreneur Michael Reza Pacha.

Ce projet trouve son origine dans un double constat effectué par Michael Reza Pacha, dirigeant fondateur du groupe énergétique ENROXXS, via son expérience au sein du secteur minier :

-D’une part, les sites d’exploitation minière d’Afrique fonctionnent essentiellement en brûlant des hydrocarbures, en majorité du diesel, dont les dégâts sur l’environnement sont très importants.

-D’autre part, ces sites, qui consomment et produisent d’importantes richesses, sont souvent installés à proximité de populations qui n’ont même pas accès à l’électricité.

Dans une tribune pour le magazine professionnel Filière 3e, Michael Reza Pacha est revenu sur sa réponse à ce problème. Une réponse mise en application par la création de la société 4S, spécialisée dans le développement de l’énergie solaire.

Cette entreprise propose aux acteurs du secteur minier africain de leur offrir des installations solaires, pour leur revendre ensuite l’électricité produite, à un prix meilleur marché que ce qu’ils payent en hydrocarbures.

Ce service ne se contente pas de défendre la cause environnementale, puisque l’énergie produite non consommée est ensuite distribuée aux populations locales, souvent dépourvues de toute installation électrique, pour un tarif identique ou moindre que celui pratiqué dans les zones électrifiées du pays concerné.

Lier défense de  la Nature et de l’Homme est donc possible, comme le démontre ce genre d’initiative constructive…

Des Chronopost livrés le dimanche

Face à la poussée de la concurrence liée à l’explosion du numérique, le groupe Chronopost a annoncé qu’il allait livrer ses paquets tous les jours de la semaine, dimanche compris.

Selon les informations des journalistes du Monde, les représentants de Chronopost pourraient bien annoncer une grande nouveauté, lors de la conférence de presse organisée à Paris le 14 septembre prochain.

En effet, la filiale de la poste pourrait annoncer qu’elle compte mettre en place des livraisons tous les jours, dont le dimanche. Une petite révolution pour cette entreprise qui s’y est toujours refusé.

Une révolution forcée d’une certaine manière, tant l’économie numérique met la pression sur ce genre de services.

Avant de lancer officiellement ce dispositif, dont les contours restent à définir, Chronopost avait effectué une série de tests, en collaboration avec Cdiscount.

La conférence de presse à laquelle les journalistes ont été conviées, porte le titre assez clair de « un dimanche à la maison by Chronopost ».

Les services de communication de Chronopost contactés par Le Monde, ont d’ailleurs confirmé le lancement de ce nouveau service, sans toutefois dévoiler aucun détail sur sa mise en place et ses tarifs.

 

Qu’est-ce que la révolution digitale ?

Souvent utilisée à tort et à travers, l’expression de révolution digitale est entrée dans le langage courant.

On parle généralement de révolution digitale pour exprimer le bouleversement global de notre société à la suite de l’avènement de l’internet.

Comme il y a eu la révolution industrielle, puis celle du pétrole, et celle  de l’informatique, l’apparition de l’usage du net à modifié en profondeur la manière de consommer, de produire, mais également de vivre.

On appelle révolution digitale, ou révolution numérique, les conséquences de ces changements.

Nos habitudes de vie ont été modifiées par l’apparition du net, tout comme la manière de gérer les entreprises et comme celles des consommateurs : c’est la révolution digitale.

Et encore, nous sommes seulement à l’aube de cette révolution qui devrait encore marquer plus en profondeur notre société…

100 millions d’euros pour les startups françaises

Le Crédit agricole confirme sa politique d’investissement dans les startups, avec l’annonce de deux plans d’aide en faveur de ces nouvelles entreprises du secteur numérique, pour un montant total de 100 millions d’euros.

Alors que l’établissement bancaire français avait déjà lancé avec succès, il y a maintenant deux ans, son « Village by CA », une pépinière de startups, il avait fini par décliner ce concept au niveau local.

Désormais, le Crédit Agricole a donc décidé d’aller encore plus loin dans le soutien financier aux startups, avec le lancement de deux programmes.

Le premier programme est consacré aux investissements dans les startups des territoires, dans des domaines « stratégiques », tels que l’agriculture, l’agroalimentaire, l’énergie, l’environnement, le logement, la santé, le tourisme, ou la mer.

Le second se concentrera sur les métiers de banque et d’assurance, avec des aides aux startups de la Fintech qui utilisent des technologies de type big data, Blockchain, paiements numériques, cybersécurité ou objets connectés.

Ces deux projets seront soutenus par deux fonds de capital-innovation de 50 millions d’euros chacun, pour un investissment total de 100 milliosn d’utros, donc.

 

 

 

 

 

Nativiz : l’agence Web au service de votre e-réputation

Google est aujour’hui la première source d’information des consommateurs. Plus de 80% des Français font des recherches en ligne avant d’effectuer des achats en magasin. Les informations disponibles sur une entreprise ou un produit s’avèrent déterminantes. Nativiz propose à ses clients des services innovants pour enrichir et améliorer ce positionnement en ligne.

La e-réputation joue désormais un rôle central pour la quasi-totalité des entreprises. Commerçant. Artisan. PME. Les informations disponibles en ligne, qu’elles soient positives, négatives ou inexistantes, impactent lourdement l’activité et le chiffre d’affaires.

Les résultats de Google sont devenus l’équivalent du bouche à oreille. Bien utilisé, le Web est un formidable outil pour trouver de nouveaux clients et faire connaître son savoir-faire. Laissé en jachère, la pauvreté des informations décourage les nouveaux venus quand des contenus négatifs ne s’avèrent pas polluants.

L’agence Web Nativiz, spécialisée dans l’optimisation de la e-réputation des entreprises, propose à ses clients de se faire connaître sur le Web pour que leur image en ligne mette en valeur leur expériences, leurs atouts et leurs savoir-faires. Une méthodologie mêlant publications et référencement importée des Etats-Unis.

Les équipes de Nativiz rédigent et font publier des contenus Web riches, informatifs et valorisants sur des médias partenaires dans le cadre de campagnes de « publicité native » (native advertisement) qui garantissent de toucher des audiences pertinentes et ciblées tout en assurant sur le long-terme un référencement optimal sur les mots-clés stratégiques pour ses clients.

 

« Pour qu’une entreprise soit efficace dans sa communication en ligne, elle doit non seulement être visible sur les moteurs de recherche, mais aussi disposer d’une image en ligne construite, qui donne des informations pertinentes et de qualité à ses clients et prospects », précise Henri Tillinac, le fondateur de Nativiz.

L’agence Nativiz propose d’ailleurs aux entreprises tentées un bilan d’image en ligne gratuit et sans engagement. Un bilan d’image qui offre un diagnostic complet de  e-réputation ainsi que des pistes d’amélioration pour conquérir de nouveaux clients et marchés.

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