La France abandonne le Tafta

La France a officiellement annoncé qu’elle comptait arrêter les négociations sur le traité de libre-échange transatlantique (Tafta ou TTIP). 

C’est le secrétaire d’État au Commerce extérieur en personne, Matthias Fekl, qui a annoncé cette décision aux micros de RMC, mardi 30 aout.

«La France considère que nous sommes à un moment de vérité et de décision. À la fin du mois de septembre, je demanderai au nom de la France l’arrêt des négociations sur le Tafta», a-t-il déclaré

De son côté, l’Union européenne souhaite encore croire à la signature de ce traité.

 

 

Monaco/Villarreal : enjeux économiques

Le match qui oppose ce soir l’AS Monaco et Villarreal n’est pas seulement capital pour son enjeu sportif, mais également pour les finances du club.

Après sa victoire sur la pelouse du club espagnol, l’équipe de Monaco aborde ce dernier match préliminaire avec le statut du favori.

En cas de performance positive (une défaite 1/0 suffirait même à la qualification monégasque), le club pourra jouer la prochaine ligue des Champions.

La participation à cette compétition garantit, d’une part, des revenus très importants en droits télé. D’autre part, elle offre une vitrine inégalable pour les jeunes joueurs du club, qui peuvent ensuite être revendus avec une importante plus valu, comme ce fut le cas lors de la dernière participation de Monaco, qui avait atteint les quarts de finale.

Le milliardaire russe Dmitri Rybolovlev, propriétaire du club, avait fait part de sa satisfaction.

 

L’Égypte achète 4 Falcon à Dassault

Selon La Tribune, le groupe français d’aviation Dassault a conclu un contrat avec l’état égyptien pour la vente de 4 avions supplémentaires.

Ce contrat, dont le montant est évalué à près de 300 millions d’euros, porte sur la livraison de 4 avions Falcon 7X.

Ces petits avions auront pour mission de remplacer l’actuelle flotte à usage gouvernementale, composée d’avions américains.

En février 2015, l’Égypte avait déjà acheté 24 Rafale à Dassault

 

Vers une retraite à 69 ans ?

L’Allemagne va-t-elle faire passer son âge légal de départ à la retraite à 69 ans ? C’est ce que recommande sa banque centrale.

En effet, dans une recommandation effectuée en aout au gouvernement allemand, la Bundesbank estime que le système de retraite allemand ne pourra plus être financé si l’age de la retraite n’est pas repoussé à 69 ans d’ici l’année 2060.

Ce calcul s’explique par la faible démographie allemande, à cause de laquelle les cotisants ne seront bientôt plus suffisants pour financer les retraites des baby boomers.

En 2007, l’Allemagne avait déjà repoussé l’age de la retraite à 67 ans d’ici 2030, ce qui n’est pas suffisant selon la Bundesbank…

Les salaires des patrons anglais à la hausse

Les salaires des grands patrons britanniques ont augmenté de 10% en 2015. De quoi susciter de nombreuses critiques.

Le think tank indépendant anglais, High Pay Centre, a publié son étude annuelle sur les revenus des grands patrons britanniques.

Cette étude nous apprend que les grands patrons anglais ont touché en 2015, en moyenne, 5,48 millions de livres, soit 6,44 millions d’euros, ce qui représente une hausse de plus de 10 % par rapport à l’année précédente.

Dans un contexte de crise économique et de troubles sociaux, cette information passe mal au Royaume Uni.

 

Vers un accord économique entre l’UE et l’Indonésie

L’Union Européenne et l’Indonésie pourraient signer prochainement des accords de libre échange.

Lundi 18 juillet, les états membres de L’UE ont décidé de lancer des négociations en vue d’un accord de libre échange entre l’Europe et l’Indonésie.

Cecilia Malmstroem, commissaire européenne au Commerce, ainsi que le ministre indonésien du Commerce, Tom Lembong, ont publié un communiqué commun pour expliquer cette volonté de collaboration.

« L’Union européenne et l’Indonésie représentent un gigantesque marché de 750 millions de consommateurs. Ces négociations sont cruciales pour développer les synergies entre nos économies« , expliquent-ils.

 

Légère hausse à Wall Street

La Bourse de Wall Street est reparti en légère hausse, lundi 18 juillet, à la suite d’une semaine chargée.

Il semblerait que la Bourse new-yorkaise ait digéré sans grande difficulté la tentative avortée de putsch en Turquie.

En effet, les cours étaient légèrement en hausse, lundi, malgré les événements géopolitiques et malgré les résultats de certaines grosses entreprises tombés la semaine dernière

Les analystes de la société de courtage Charles Schwab, précisent que Wall Street reste calme, « comme la période des résultats d’entreprises va s’animer cette semaine, tandis que les marchés mondiaux digèrent une pléthore d’événements géopolitiques ».

Farnborough : 125 milliards de dollars de contrats

Selon ses organisateurs, le salon aéronautique de Farnborough a permis la signature de contrats à hauteur de 125 milliards de dollars.

Les organisateurs de l’édition 2016 du salon aéronautique de Farnborough ont annoncé que l’événement a généré pour 123,9 milliards de dollars (ou 112,3 milliards d’euros) de commandes et d’engagements d’achats.

Ces résultats sont tombés à l’issue des journées professionnelles, qui se tenaient vendredi 15 juillet.

Plus précisément, ces chiffres concerne des accords pour l’achat de 56 appareils (pour 93,98 milliards de dollars), de 1.407 moteurs (pour 22,7 milliards de dollars) et d’autres contrats (pour 7,2 milliards de dollars).

 

 

 

Réunion de crise à Bruxelles sur le lait

Les ministres de l’agriculture des pays membres de l’Union européenne se sont réunis à Bruxelles, pour une réunion de crise sur le prix du lait.

Ces deux dernières années, en Europe, le tarif du lait a subi une chute de 25%. Pour tenter de trouver des solutions à cette situation de plus en plus inquiétante, le ministres européens de l’agriculture se sont retrouvés à Bruxelles, lundi 18 juillet.

L’objectif de cette réunion d’urgence est de réguler la production laitière, afin de faire remonter les cours.

Une mission quasi impossible, quand on connait les désaccords profonds sur la question entre les différents états…

 

 

 

Fiscalité : Google répond

Le patron de la multinationale Google a tenu à répondre aux polémiques sur les méthodes d’optimisation fiscale du groupe.

Dimanche 17 juillet, le PDG de Google, Sundar Pichai, a répondu aux questions du quotidien allemand Die Welt, qui accuse la compagnie de ne pas payer autant d’impôts qu’elle devrait.

« Globalement, nous payons nos impôts de manière analogue à la moyenne du taux d’imposition dans l’OCDE. Dans le cadre du droit fiscal existant, la plupart des entreprises payent la plus grande partie de leurs impôts dans leur pays d’origine », a-t-il répondu.

Il affirme que Google respecte la loi et se contente de pratiquer légalement de l’optimisation fiscale.

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