Qu’est-ce que la révolution digitale ?

Souvent utilisée à tort et à travers, l’expression de révolution digitale est entrée dans le langage courant.

On parle généralement de révolution digitale pour exprimer le bouleversement global de notre société à la suite de l’avènement de l’internet.

Comme il y a eu la révolution industrielle, puis celle du pétrole, et celle  de l’informatique, l’apparition de l’usage du net à modifié en profondeur la manière de consommer, de produire, mais également de vivre.

On appelle révolution digitale, ou révolution numérique, les conséquences de ces changements.

Nos habitudes de vie ont été modifiées par l’apparition du net, tout comme la manière de gérer les entreprises et comme celles des consommateurs : c’est la révolution digitale.

Et encore, nous sommes seulement à l’aube de cette révolution qui devrait encore marquer plus en profondeur notre société…

Hulot prévoit plusieurs fermetures de centrales nucléaires

Le ministre de l’environnement, Nicolas Hulot, a fait savoir qu’il comptait fermer près de 17 réacteurs nucléaires pendant le quinquennat d’Emmanuel Macron.

Lorsque l’annonce de sa nomination au gouvernement, et surtout le fait qu’il ait accepté le poste, ont été rendus publics, les questions quant au réel pouvoir de Nicolas Hulot et sur l’influence qu’il pourrait avoir sur le chef de l’état ont été nombreuses.

Aujourd’hui, sa crédibilité n’est toujours pas entachée et on commence à comprendre comment il influe discrètement sur les gros dossiers.

Ainsi, lundi 10 juillet, lors d’une émission de radio sur RTL où il était invité, le ministre a annoncé qu’il comptait fermer environ 17 réacteurs nucléaire avant la in du mandat du président de la république.

Une déclaration sans ambiguïté :

« Si nous voulons atteindre l’objectif, mécaniquement, à mesure que nous allons baisser notre consommation et diversifier notre production, nous allons fermer un certain nombre de réacteurs. […] Chacun peut comprendre que pour tenir cet objectif, on va fermer un certain nombre de réacteurs (…) Laissez-moi planifier les choses, ce sera peut-être jusqu’à 17 réacteurs, il faut qu’on regarde »

Loi travail : l’Udes veut peser

L’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes) a fait savoir qu’elle comptait jouer un rôle majeur dans les discussions sur la prochaine loi travail.

Le projet de réforme du travail en France est porté par le président de la république, Emmanuel Macron, qui en a fait l’une de ses principales promesses de campagne avant d’être élu.

S’il a annoncé depuis le début que ce projet de loi ne passerait pas devant le parlement, afin de gagner du temps, et serait adopté par ordonnances, Emmanuel Macron s’est engagé à lancer une grande consultation sur le sujet auprès des principaux acteurs de l’économie nationale et des partenaires sociaux.

Ainsi, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a  commencé à recevoir ces représentants, lors de consultations.

La semaine dernière, elle recevait notamment les représentants de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes).

Cet organisme souhaite d’ailleurs être particulièrement écouté lors de ces consultations, comme l’a expliqué le président de l’Udes, Hugues Vidor, qui a évoqué le « rôle régulateur de la branche ».

 

Macron face aux leaders de l’ESS

La loi Travail préparée par le gouvernement Philippe et qui doit revoir en profondeur le code du travail français, devrait être adoptée par amendements, comme l’a annoncé le président de la république, Emmanuel Macron.

Il n’a pas attendu d’être élu et de se confronter à l’exercice du pouvoir pour annoncer que sa loi travail, essentielle à la relance économique du pays selon lui, ne passerait pas devant les parlementaires, afin de faire gagner du temps au gouvernement.

Une absence de vote à l’Assemblée ne signifie par pour autant un refus de la consultation et le gouvernement à lancé une vaste campagne de rencontres avec les partenaires sociaux, afin de finaliser cette nouvelle loi.

Ainsi, les acteurs de l’économie sociale et solidaire ont également été reçus. C’est la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, qui a accueilli les représentant d’un secteur en plein boom, de l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire (Udes), le 22 juin 2017.

Le président de l’Udes, Hugues Vidor, a défendu avant cette réunion, un « rôle régulateur de la branche ».

Les investisseurs tunisiens au Maroc

Deux économie en plein boom, celle de la Tunisie et celle du Maroc, sont logiquement en train de raffermir leurs liens. C’est dans ce contexte que des investisseurs tunisiens se sont rendus à Rabat cette semaine.

Ainsi les 18 et 19 juin, se tenait à Rabat la 19° session de la commission mixte tuniso-marocaine.

A cet occasion, le chef du gouvernement tunisien, accompagné de nombreux investisseurs, Youssef Chahed a rendu une visite officielle à son homologue marocain, Saadeddine El Othmani.

L’objectif de ces rencontres était de conforter les liens économiques croissants entre ces deux pays qui connaissent parallèlement d’importantes croissances économiques et qui en profitent pour accélérer leurs développements.

Et on peut dire que cet objectif a été atteint, puisque pas moins de 13 accords de coopération ont été signés entre les deux pays.

Un vrai succès !

 

 

Croissance : la Banque de France optimiste

La Banque de France a fait part de ses estimations optimistes concernant l’évolution de la croissance française, pour le deuxième trimestre 2017.

L’élection du nouveau président de la république française, Emmanuel Macron, a-t-elle déjà un effet positif sur le dynamisme de notre économie ? C’est la question que l’on peut se poser en découvrant une nouvelle accélération de la croissance française au deuxième trimestre 2017.

En effet, lundi 12 juin 2017, la Banque de France a communiqué ses nouvelles estimations pour la croissance française au deuxième trimestre 2017 : elle prévoit une hausse de 0,5% du PIB.

Il s’agit d’une seconde bonne nouvelle après la croissance de 0,3% du PIB au premier trimestre.

L’organisme a expliqué que la croissance avait été particulièrement forte en avril et mai, mais qu’elle devrait ralentir un peu en juin.

« Le travail temporaire repart, tandis que les activités informatiques marquent une pause », selon le communiqué publié par l’organisme financier.

 

 

Le groupage pour un déménagement 2.0

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Le groupage consiste, pour les déménagements internationaux, à partager l’espace de transport, et ainsi les coûts. Cette solution notamment proposée par le leader français de la mobilité internationale, AGS Déménagements, est inspirée de l’économie participative. Elle permet de réaliser d’importantes économies sur les déménagements internationaux et ultramarins.

Les déménagements internationaux se font essentiellement par voie marine, ce qui permet de transporter des quantités plus importantes, à moindre coût et avec un impact carbone limité. Les biens transportés (cartons d’objets divers, meubles, voitures…) sont disposés dans des containers dédiés, qui sont acheminés sur les lieux de destination des déménagements.

Ces containers proposent généralement un volume de transport bien plus important que ce que les utilisateurs désirent réellement déplacer. Il en résulte bien souvent un surcoût pour les clients et un gâchis notoire, avec le transport d’espaces vides. La solution est donc de mettre en commun les biens à transporter, pour que les consommateurs partagent les containers et divisent ainsi leurs frais de déménagement.

L’utilisation du groupage, pour les déménagements à l’étranger ou à l’outremer, connait une forte croissance, qui devrait encore s’accentuer dans les prochaines années, tant ce système est en adéquation avec les valeurs du moment et les attentes des consommateurs.

La transition environnementale est désormais une priorité, comme l’illustre, par exemple, la nomination, en France, de Nicolas Hulot au poste de ministre de la transition écologique. Les  économies d’énergie, la lutte contre le gâchis, ainsi que l’optimisation des ressources naturelles et humaines, sont autant de nouvelles exigences auxquelles le groupage apporte des solutions.

Le déménagement groupé s’intègre également à la transition numérique. Il correspond aux normes actuelles d’une économie participative 2.0, où les consommateurs veulent désormais optimiser leurs dépenses, en s’appuyant sur les nouvelles technologies, à l’image du succès d’Airbnb, ou de l’essor du covoiturage. Le partage d’un service effectué, en l’occurrence par un intermédiaire, les sociétés qui offrent des offres variées de groupage de déménagement, comme AGS déménagements, est l’une de pierres angulaires de la transition numérique. A ce titre, le groupage pour les déménagements a encore de beaux jours devant lui.

Crédit agricole : 125.000 euros pour un papy

Le Crédit agricole a été condamné par la justice à verser des dédommagements à un retraité pour un montant de 125.000 euros.

Il y a six ans, un retraité niçois s’était fait détourner 115.000 euros de ses comptes en banque par un jeune locataire.

Le coupable a depuis été condamné à deux ans de prison, mais jusque là la banque refusait d’admettre sa responsabilité dans ce détournement.

La banque considérait que le détournement venait uniquement de la malhonnêteté du jeune homme et de l’absence de vigilance du vieux monsieur.

Mais le tribunal en a décidé autrement et cette semaine, la cour d’appel d’Aix-en-Provence a condamné la banque à verser les 115.000 euros au retraité, ainsi que 10.000 euros supplémentaires, au titre de dommages et intérêts pour un manque de vigilance.

Une affaire qui devrait faire jurisprudence…

 

 

 

Vers une pénurie de carburant ?

Faut-il s’attendre à une pénurie d’essence, en France, dans les prochaines semaines ? Cette éventualité est probable…

Depuis ce weekend, la menace d’une nouvelle pénurie de pétrole refait surface de plus en plus fortement.

Cette question vient de la gréve des conducteurs de matières dangereuses, lancée vendredi 26 mai, à la demande de la CGT.

Ces conducteurs transportent donc des « matières dangereuses », comme du carburant, du gaz, des produits chimiques… Ils demandent des meilleures conditions de travail.

Cette gréve persiste si bien que depuis aujourd’hui, mercredi 31 mai, l’inquiétude s’est amplifiée. En effet, depuis ce matin, plusieurs centaines de stations services ont exprimé leurs difficultés à s’approvisionner.

Si la situation perdure, une pénurie d’essence est donc à craindre dans les prochaines semaines…

 

 

La Suisse ne veut plus de nucléaire

Les électeurs suisses ont voté pour la sortie progressive de leur pays du nucléaire, dimanche 21 mai.

Comme ils en ont l’habitude, les Suisses ont été invités à voter sur un sujet précis lors d’un référendum, dimanche 21 mai 2017.

Cette fois-ci, le référendum portait sur un projet de sortie, à moyen terme, du nucléaire, qui doit être remplacé peu à peu par des énergies renouvelables.

Les électeurs étaient invités à s’exprimer sur le projet de nouvelle stratégie énergétique, porté par leur président, Doris Leuthard. Le oui l’a donc remporté assez largement, avec 58,2 % des bulletins.

Ce projet ambitieux veut faire de la Suisse un pays particulièrement écologique, au niveau de l’énergie, donc, mais également des transports et du bâtiment.

Pour sortir du nucléaire progressivement, le pays des Alpes devrait lancer d’importants projets de production hydroélectriques.

 

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