1500 emplois français pour Amazon

Le géant américain de la livraison à domicile, Amazon, a annoncé qu’il allait créer 1500 emplois en France, cette année.

Les représentants français de la multinationale ont publié un communiqué, lundi 20 février, pour annoncer ces embauches massives.

Ces 1500 postes en CDI concerne des postes d’ingénieurs, mais également de personnes non qualifiées. Ils seront recrutés essentiellement en Somme et en Ile-de-France.

Selon  le directeur des opérations France d’Amazon, Ronan Bolé, « Les recrutements (…) ont d’ores et déjà démarré ».

Amazon dispose déjà de 4000 salariés en France. Son objectif est de créer « 1500 emplois en CDI supplémentaires d’ici la fin de l’année 2017 », selon le communiqué.

On ne sais pas si la polémique concernant la fiscalité d’Amazon est liée à cette décision…

 

Première cuvée de rouge breton

La première vendange destinée à produire du vin rouge en Bretagne depuis le 17e siècle devrait être réalisée dans les prochains mois.

La Bretagne est bien connue pour sa production de pommes et ses cidres délicieux. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi et on a tendance à oublier que les Bretons fabriquaient un excellent vin rouge au Moyen Age.

En fait, c’est la décision de Colbert, dans sa volonté de centraliser et de rationaliser l’économie nationale, qui a imposé aux Bretons la production de pommes, au 17e siècle.

Pourtant, il y a quatre ans, des passionnés bretons ont décidé de créer une association afin de réintroduire la production vinicole en Bretagne.

Cette année, ils devraient pouvoir réaliser leur rêve et produire le premier vin rouge breton depuis plusieurs siècles.

Ces vignerons du mont Garo ont planté 400 pieds de Rondo, un cépage utilisé pour la confection du vin rouge, qu’ils vont vendanger dans l’année, afin de produire l’élixir tant attendu.

 

Air France essaye de convaincre ses pilotes

Un courrier du directeur général de la compagnie aérienne Air France a été transmis aux pilotes de la compagnie, afin d’essayer de les convaincre d’accepter le projet « Boost ».

Les tensions sociales sont encore extrêmement fortes au sein d’Air France, où les pilotes sont en grogne à cause du projet « Boost », organisé par la direction pour sauver le groupe de la faillite.

Ce projet prévoit le lancement d’une ligne low cost, où les pilotes seraient moins bien rétribués. Cette mesure ne concernerait que les nouveaux pilotes et les anciens employés du groupe pourraient décider sur quelles lignes ils souhaitent piloter.

Après avoir suscité de large inquiétudes, cette mesure est soumise au vote des pilotes, qui devront s’exprimer le 123 février.

Dans le cadre de ce vote, les journalistes du Figaro ont pu consulter un courrier rédigé par le Directeur général d’Air France et destiné à ses pilotes.

« Ne pas faire la nouvelle compagnie, c’est renoncer à cette croissance et à toutes les conséquences positives qu’elle emportera pour vous après des années de stagnation », y est-il écrit.

Cela suffira-t-il a les convaincre ? La réponse mi février !

Matthieu Pigasse et Xavier Niel achètent AB Production

Mediawan, le fonds d’investissement de Matthieu Pigasse, Xavier Niel et Pierre-Antoine Capton a annoncé qu’il allait acheter le groue AP, pour un montant proche de 270 millions d’euros.

Le groupe AB est devenu célèbre avec les séries AB Production, dans les années 90, comme (entre de nombreux autres) Hélène et les Garçons, Premier Baiser, ou encore Salut les Musclés.

Depuis, ce groupe a continué à produire des créations audiovisuelles, mais il s’est également positionné en tant que diffuseur, avec ses chaines dont RTL9, Golf Channel ou AB Moteurs.

Il s’agit donc d’un rachat important dans le secteur médiatique. D’ailleurs, Mediawan ne cache pas ses intentions qui sont de devenir «leader européen des contenus» audiovisuels.

Une ambitions expliqué par Matthieu Pigasse, qui a déclaré :

«Nous allons utiliser AB comme plateforme de départ pour créer le premier groupe indépendant de contenus en Europe. Nous allons réaliser un certain nombre d’acquisitions dans quelques semaines ou quelques mois, dont la valeur cumulée sera facilement supérieure à 1 milliard d’euros».

 

Légère baisse de la Bourse de Paris

Lundi 23 janvier 2017, la Bourse de Paris a ouvert avec une légère chute de 0,69%, à 4.816,98 points. 

Selon de nombreux analystes, la Bourse de Paris, comme celle de Wall Street, sont en attente des premières décisions politiques du nouveau Président américain, Donald Trump.

Selon les analystes de Mirabaud Securities Genève, les bourses européennes vont rester «dans l’attente des premières annonces concrètes (ou dans l’espoir de) de la nouvelle administration de Donald Trump».

Même son de cloche du côté de Michael Hewson, analyste chez CMC Markets, pour qui «les marchés vont commencer à digérer le discours» (d’investiture de Donald Trump, ndlr).

Cette baisse intervient alors que la Bourse de Paris avait fini par une légère hausse de 0,20%, à 4.850,67 points, vendredi soir.

La présidence Trump devrait donc influer directement sur le cours des bourses européens et américaines.

 

Entrée en application de la baisse des impôts

La baisse d’impôts de 20% pour une partie des français va être concrétisée aujourd’hui, lundi 16 janvier, pour les ménages concernés qui ont recours au prélèvement mensualisé.

Cette baisse des impôts de 20% concerne les célibataires qui ne gagnent pas plus de 18500 euros par an et les couples dont le revenu fiscal est inférieur à 37000 euros annuels.

Cette réduction d’impôts a été votée avec la loi de finances 2017. Le gouvernement a fait part de sa fierté d’avoir mis en place cette évolution.

En effet, dans un communiqué publié lundi 16 janvier, le ministère des Finances de Bercy a expliqué que cette baisse significative allait permettre de «de rendre aux Français une partie des efforts fournis pour la remise en ordre de nos finances publiques».

Le gouvernement avait pesé de tout son poids pour que cette mesure soit effective en janvier et non fin aout, comme prévu, afin que les Français puissent en bénéficier avant les élections présidentielles.

Cette décision «portera à 6 milliards le montant total des baisses d’impôt sur le revenu décidées par le gouvernement», précise le communiqué de Bercy.

2000 emplois américains pour Fiat Chrysler

Dimanche 8 janvier 2017, le groupe de construction automobile Fiat Chrysler a annoncé qu’il allait investir aux États-Unis et y créer 2000 emplois.

Le constructeur s’est ainsi engagé à investir un milliard de dollars lors des trois prochaines années, sur deux de ses sites de production, situés dans les états du Michigan et de l’Ohio.

Cet investissement permettra la création, sur ces deux usines, de 2000 nouveaux emplois, notamment destinés à l’assemblage de la nouvelle Jeep de luxe Wagoneer. Ces précisions ont été apportées par un communiqué du groupe, diffusé à l’occasion de l’ouverture du salon automobile de Detroit, qui a lieu aujourd’hui.

« (Le groupe) apporte une démonstration supplémentaire de son engagement à renforcer sa base manufacturière aux États-Unis », précise le communiqué, qui mentionne également la création de 25000 emplois aux États-Unis, depuis l’année 2009.

Cette décision intervient dans un contexte de bras de fer entre le futur président américain, Donald Trump et l’industrie automobile, sommée par le dirigeant politique de cesser ses délocalisations d’usines.

 

 

Montebourg veut baisser la CSG

L’ancien ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg, a annoncé vouloir baisser la contribution sociale généralisée (CSG) pour les petits salaires, s’il est élu président de la république.

Les Primaires socialistes pour la candidature à la prochaine élection présidentielle sont bien lancées. Et le principal opposant au grand favori Manuel Valls, son ancien ministre Arnaud Montebourg, a décidé de faire parler de lui.

Ainsi, mardi 3 janvier, il s’est rendu sur le plateau de la radio RTL, afin de présenter son programme politique. L’une de ses propositions a particulièrement marqué : il s’agit d’une baisse de la CSG  pour les petits salaires, qui permettrait, selon, lui de redistribuer du pouvoir d’achat aux « classes populaires ».

Une mesure qu’il juge nécessaire et qui sera « la première des décisions » qu’il prendra en cas d’élection à la fonction suprême. Et de préciser qu’il souhaite « diminuer la CSG sur tous les salariés qui aujourd’hui sont en situation d’être entre un smic ou 1,3 smic, c’est-à-dire jusqu’à 1 500 euros net ».
L’ancien compagnon d’Audrey Pulvar a justifié cette décision par la situation actuelle de nitre pays : « aujourd’hui, le problème de la France, c’est que ceux qui travaillent ont des fins de mois difficiles »
Lundu 2 janvier, c’était un autre candidat à la primaire socialiste, Benoit Hamon, qui s’était exprimé sur les antennes d’Europe 1.

Affaire Cahuzac : le choix des coupables ?

Le 18 décembre, le président de la 32e chambre du tribunal correctionnel de Paris, a rendu son verdict dans l’affaire politico-judiciaire la plus marquante du quinquennat de François Hollande. Un procès hors-norme qui soulève un certain nombre de questions. Derrière la sévérité apparente de la condamnation de l’ancien ministre, se cache en creux un étonnant laxisme à l’égard de certains établissements bancaires.

Pris au piège de la dimension symbolique du procès, Jérôme Cahuzac a écopé d’une sanction particulièrement lourde. Trois ans de prison ferme. Son ex-femme, Patricia, a été condamnée à deux ans de prison ferme. Dernier accusé, la Banque Reyl, qui devra verser près de deux millions d’euros d’amende.

Des peines lourdes qui en imposent. En apparence du moins. Car à y regarder de plus près, c’est surtout la liste des établissements bancaires non poursuivis qui impressionne. Sur les trois millions et demi d’euros cachés par le couple Cahuzac au fisc français, six cent mille ont été placés dans les coffres genevois de la Banque Reyl. Quid des deux millions neuf cent mille restant ?

L’instruction a pourtant permis de localiser l’intégralité des comptes illicites de l’ancien ministre. Et surprise, la liste des banques impliquées compte plusieurs des cadors du secteur bancaire : UBS, Julius Baer, Royal Bank of Scotland, BNP Paribas et la Banque Postale. « Too big to jail », pour détourner  le célèbre dicton américain ? Peut-être bien.

Le choix du juge Peimane Ghaleh-Marzban, de ne poursuivre que la plus petite et la moins influente des banques impliquées, pose tout de même des questions. Fallait-il coûte que coûte faire un exemple sans fragiliser un secteur bancaire traumatisé par le tsunami de 2008 ?

La condamnation même de la Banque Reyl porte en elle pas mal d’ambiguïtés. Condamné à une amende, la banque n’a pourtant pas reçu d’interdiction d’exercer une activité bancaire en France. Plus étonnant, le juge a affirmé dans son verdict que l’activité de la banque était conforme à la législation suisse en vigueur. Coupable mais pas responsable ?

Pour justifier cette étrange condamnation et ne pas se justifier sur le sort des autres banques, le tribunal a évoqué « l’instrument de la dissimulation des avoirs ». Comme si l’on condamnait un fabricant de couteaux lorsqu’une victime est poignardée…

Vente record de sous-marins

La France a réalisé une vente monumentale de 12 sous-marins d’attaque à la marine australienne.

L’Australie et la France ont signé un contrat historique, mardi 20 décembre qui porte sur la vente par la France de 12 sous-marins de guerre.

Ce contrat passé entre les ministères de la Défense des deux pays alliés est le « plus gros contrat de défense de l’histoire australienne », a précisé la ministre australienne, Marise Payne.

Les négociations ont également porté sur les lieux de construction de ces sous-marins, avec comme enjeu implicite, celui de l’emploi.

En effet, une partie de la construction sera réalisée sur le sol australien, créant ainsi 2800 emplois en Australie.

De son côté, la société qui construit ces sous-marins et qui est détenue à 62% par l’État français, DCNS, aura besoin de 4 millions d’heures de travail sur le territoire français. De quoi créer entre 3000 et 4000 emplois pérennes. Une bonne nouvelle pour l’économie nationale…

Ce contrat représente un montant total de 34 milliards d’euros, consacrés au design, à la fabrication, à la maintenance et à la formation du personnel.

 

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